Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Une toile pour deux, Norman Bates, Xav-B.Log, Rob Gordon
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| La légende de Beowulf, De Robert Zemeckis Avec R. Winstone, A. Jolie, A. Hopkins Sortie le 21 novembre 2007 |
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Curieuse sensation que de sortir d'une projection mais d'avoir l'impression d'avoir visionné sur écran géant une longue cinématique de jeu vidéo qu'on ne peut zapper. L'histoire, toute emprunte de ce que le jeu vidéo sert à foison, un univers médiéval fantastique, pourrait fort bien être celle d'un World of Warcraft au budget fortement dopé : pas très originale, voire assez mince, mais remplissant son rôle à défaut de sortir des sentiers battus. Si je le tolère sur mon PC chéri (après tout, dans le pire des cas, je tape une touche pour sauter la cinématique), cela passe moins bien sur grand écran ...
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Je n'aime pas les films en "3D". Je n'aime pas les films pour mioches à la Pixar (ou autres) avec des petits animaux qui sont "très marrants et trop mignons". Pourquoi aller voir Beowulf alors ? pas par nostalgie pour Christophe Lambert, plutôt pour accompagner des potes, et puis aussi et surtout parce que le scénario est écrit par rien de moins que Neil Gaiman et Roger Avary ! C'est quand même la classe, même si on sait maintenant avec certitude que l'univers de Gaiman est complètement incompatible avec le cinéma ...
Lire la suite de la chronique de Norman Bates.
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Synopsis : Beowulf est un guerrier légendaire dont les services sont requis par le roi Hrothgar pour debarrrasser son royaume de la menace de Grendel. Avide de succes et de richesse, le valeureux guerrier va tomber dans le piege tendu par la mere du monstre.
Critique : La legende de Beowulf est tiré d'une véritable légende anglo-saxonne qui fit deja l'objet de nombreuses adaptations cinématographiques. Cette fois ci c'est Robert Zemeckis qui s'y colle avec le meme procédé de Performance Capture utilisé pour son précédent film Le Pole Express ...
Critique : La legende de Beowulf est tiré d'une véritable légende anglo-saxonne qui fit deja l'objet de nombreuses adaptations cinématographiques. Cette fois ci c'est Robert Zemeckis qui s'y colle avec le meme procédé de Performance Capture utilisé pour son précédent film Le Pole Express ...
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C'est évidemment un amima-sceptique qui parle, un rétrograde de première, un vieux ronchon qui n'a jamais été enfant. Mais quand même : quel intérêt ? Quel intérêt, lorsqu'on dispose d'acteurs du talent d'Anthony Hopkins, John Malkovich ou Brendan Gleeson, de les recréer en version animée-mais-vachement-réaliset-quand-même ? Le film semble répondre de lui-même : aucun. Il nous propose de pâles clônes des acteurs cités plus haut, sans le talent ni l'énergie qui les caractérise ...
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