Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Psykokwak, BMR & MAM, Cinéphile, Antigone
Dialogue avec mon jardinier, De Jean Becker Avec D. Auteuil, J-P. Darroussin, F. Cottençon Sortie en salle le 6 juin 2007 Sortie en DVD le 6 décembre 2007 |
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La volonté de faire bien a des limites, à commencer par le respect des autres. Jean Becker sait conter des histoires faisant la part belle à des hommes simples. Parées du charme un peu suranné du passé, c’est un bon moment de cinéma. Dans ce cas, et sans connaître le roman qui est porté à l ‘écran, l’époque moderne ne sied pas à cette histoire et rend de nombreuses situations complètement non crédibles et d’un ridicule confondant de niaiserie. Un peintre parisien revient faire le point sur sa vie dans sa maison d'enfance et retrouve un ancien camarade d'école dans le jardinier qu'il embauche ...
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Alors qu'on postait, il y a un jour ou deux, le billet sur la pièce de théâtre japonaise Chants d'adieu, je nous faisions la réflexion que même si de nombreux bouquins sont adaptés au cinéma, il n'y a véritablement que le théâtre et ses acteurs qui sachent rester proche du livre et restituer la force des mots. Alors qu'au cinoche, ces mots sont comme écrasés par la puissance des images et masqués par l'écran. Et voilà Jean Becker qui me fait mentir, avec sa version moderne du rat des villes et du rat des champs : Dialogues avec mon jardinier, adaptés du roman d'Henri Cueco ...
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Ames sensibles attention, vous risquez de verser votre petite larme à la fin (ce fut mon cas). En effet, il n'y a pas beaucoup d'action dans ce film, tout se passe dans l'affectif et cette histoire d'amitié entre ces deux hommes complètement différents. L'un est artiste peintre, il est aisé, il vit dans l'imaginaire, il fréquente les milieux branchés, il est cultivé. L'autre est jardinier, retraité des chemins de fer, il vit de manière modeste mais est très ancré dans la réalité, dans la terre et dans ses racines. Il ne comprend que ce qu'il voit, il voit la vie simplement. Il a peu de choses mais il sait ce qu'il a et il a appris à l'aimer ...
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Le film commence par cette image d'une route de campagne, en été, vide de voitures, une photographie qui nous met immédiatement dans une ambiance douce, idéale, et qui m'a évoqué à moi une foule de souvenirs d'enfance. Et puis, il y a cette couleur verte, omniprésente, qui vivifie. Enfin, cette amitié, ces dialogues qui font sourire, puis rire franchement. Que dire, à part que les acteurs sont bons, que cette histoire est belle, bien que simple ...
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