Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Lecture sans frontières, Lectures et autres, Jane Doe, Chez Lo, Bunee, Dasola
La solitude des nombres premiers Paolo Giordano Parution au Seuil |
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Rien à redire sur le style sobre, agréable, on admire même cette aisance dans l'écriture chez un aussi jeune auteur (moi ça me fascine toujours!) ainsi que cette perception très juste des sentiments humains qu'il retranscrit de façon réaliste et qui pourrait laisser penser qu'il a vécu mille vies tragiques pour en avoir une compréhension et une analyse aussi fine ... ... mais ce n'est tout simplement pas mon univers ...
J'ai découvert cette histoire et cet auteur avec bonheur. Deux personnages tendres et meurtris s'attirent et se repoussent de l'adolescence à l'entrée dans l'âge adulte. Ils traînent tous deux des souffrances qui les anéantissent au point qu'ils ont du mal à se sentir vivants ...
Proposé par Chezlesfilles.com, j’ai accepté joyeusement de lire ce livre au sujet duquel la blogosphère ne tarit pas d’éloges. J’y voyais aussi une occasion de découvrir un auteur italien. Las ! La prochaine fois j’y réfléchirai à deux, voire trois fois ! La superficialité du traitement n’a d’égal que sa naïveté. Un cliché ça va, deux clichés, admettons, mais une série ininterrompue ça devient lourd. On frise la caricature à tous les chapitres, trop courts pour approfondir quoique ce soit ...
Lire la suite de la chronique de Jane Doe.
C'est toujours fascinant de lire un roman dans lequel on se glisse dans la peau d'enfants. Par les faits qui semblent réalistes, par ses mots justes et sensibles, on vit ces épisodes cruels de l'enfance, de l'adolescence puis de l'âge adulte. Par la suite, le roman suit les deux personnages de Mattia et Alice au fil des années, au fil des décennies, et on évolue avec eux un peu comme dans une bulle aérienne ...
Lire la suite de la chronique de Chez Lo.
Eh ben voilà. A force, ça m'est arrivé. Je n'arrive pas à parler de ce livre d'une façon qui m'est satisfaisante. Pourquoi diable autant d'ambivalence? J'ai à la fois aimé et ... pas aimé ce livre, et il n'y a pas de sentiment qui prévale sur l'autre. Du coup j'ai une impression, plutôt globalement favorable, mais pas tout à fait satisfaite et un peu déçue. Je m'étais dit en ouvrant l'ouvrage reçu de l'éditeur par l'intermédiaire des lectures de chez les filles, Que plus d'un million d'italiens, pris ensemble le jury 2008 du prix Strega, ainsi qu'une grande partie des (nombreux) auteurs de blog ayant également reçu ce livre contre review, avaient nécessairement une bonne raison d'aimer ce livre ...
Lire la suite de la chronique de Bunee.
J'ai lu ce roman, La solitude des nombres premiers (éditions du Seuil) avec plaisir, après avoir remarqué le grand nombre de billets le concernant sur la blogosphère et en avoir lu la plupart (je ne mets pas de liens!). Du coup, l'ayant croisé d'occasion (déjà!), j'ai sauté sur cette chance. J'ai été un peu déçue par la fin "plate". Cela finit sans finir ...
Lire la suite de la chronique de Dasola.