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24
01
2008

La Forêt de Mogari - Naomi Kawase

8 chroniques recensées

Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
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La Forêt de Mogari,

De

Avec S. Uda, M. Ono, M. Watanabe
Sortie en salle le 31 octobre 2007
.
 

Se perdre pour mieux se retrouver. Se perdre à deux, pour mieux s'épauler. Se cacher dans les rainures des plantations de thé. Se perdre dans les grands bras de la nature pour y trouver l'espoir. Rencontrer la nature dans son état le plus sauvage, en apparence rude, mais en profondeur protectrice. Consommer ses fruits, revigorants. Se confronter à l'irruption violente d'un torrent, à la chute brutale des branches d'arbres, et à la pluie. Une pluie qui dure, une pluie qui secoue, nettoie, et fini par soulager ...

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En lice pour la palme d’or cette année, La Forêt de Mogari de Naomi Kawase arrive enfin sur nos écrans. Pour son 5ème long métrage de fiction, la cinéaste japonaise livre un beau film contemplatif et sensible sur le thème du deuil. Shigeki est l’un des pensionnaires d’une maison de retraite perdue au milieu de la nature. Un personnage lunaire, presque absent ...

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Je n'ai pas hésité lorsque j'ai vu que la réalisation était signée Naomi Kawase, dont j'avais déjà vu et apprécié Shara, son précédent film. Autant Shara se passait dans une grande ville très touffue d'habitations, autant dans La forêt de Mogari, le vent circule, la végétation est reine. On est donc dans un environnement rural, c'est là, dans une maison de retraite que des personnes agées mènent une vie tranquille, souriante, heureuse, aux bons soins d'un personnel attentif. Une sorte de paradis, avec au loin la forêt, immense ...

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Les fidèles lecteurs de ces critiques connaissent mon goût pour le cinéma asiatique, et l'accueil enthousiaste que j'ai pu réserver aux films de Wong-Kar-Waï, Hou Hsiao-Hsien, Kim Ki-Duk ou Takeshi Kitano. Ayant de plus bien aimé "Shara", c'est avec beaucoup d'envie et de préjugés favorables que je suis allé voir "La Forêt de Mogari". Las, ma déception a été à la hauteur de l'attente ...

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Pour son cinquième long métrage, Grand Prix du Jury au dernier Festival de Cannes, la japonaise Naomi Kawase nous livre un film contemplatif et sensible sur le thème du deuil, très actuel dans le cinéma international d'aujourd'hui. Shigeki est pensionnaire dans une maison de retraite située à l'écart de la ville. Personnage lunaire, presque absent, il partage avec Machiko, une jeune infirmière, la douleur d'avoir perdu un être cher. Suite à un accident de voiture, qui provoque un certain désordre, le vieil homme en profite pour s'enfuir dans la proche forêt de Mogari, bientôt rejoint par la jeune femme ...

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Une jeune fille, détruite par la culpabilité ressentie suite à la mort de son enfant, vient en aide à un vieux monsieur enfermé dans le deuil depuis la mort de sa femme il y a trente-trois ans : Naomi Kawase imagine, avec La Forêt de Mogari, un fabuleux voyage de cinéma, aussi sensuel qu’inquiétant ...

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Primé à Cannes, "La Forêt de Mogari" est malheureusement assez représentatif des choix habituels des jurys. On sait que ça va être beau, bien joué, mais qu’on va s’y ennuyer mortellement. Les Palmes ont tendance à récompenser l’auteur plutôt que l’œuvre présentée. Le dernier film de Naomi Kawase ne déroge pas à la règle. C’est d’autant plus dommage que le précédent ("Shara") était un bon film, sachant ménager l’intérêt du spectateur tout au long de sa durée ...

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Comme vous le savez maintenant Asiaphilie essaie de traiter de tout le cinéma asiatique y compris de son actualité, c'est pourquoi plus de deux mois après sa sortie je m'atèle à la critique de La Forêt de Mogari diffusée en salle courant novembre. Le nouveau film de l'étrange réalisatrice Naomi Kawaze a été presenté au 60eme Festival de Cannes où il a obtenu le "Grand Prix". Ce n'était pourtant pas une première pour cette réalisatrice indépendante au style expérimental et intimiste qui est extrêmement populaire dans les Festivals. Son précédent film Shara, étrange réflexion sur la disparition d'un être cher, était déjà en lice lors de l'édition 2003 du festival de Cannes. Son nouveau long métrage s'inscrit dans une certaine continuité, la réalisatrice aborde encore le thème douloureux de la perte d'un proche ...

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Note : 3.1/5 (12 notes)


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