Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Le bal des vauriens, Le Golb, Systool
In dearland, Elvis Perkins, Paru en 2009 |
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Elvis Perkins avait débarqué il y a deux ans avec son nom de hall of famer, sa tête à claque de premier de la classe et surtout un premier album Ash Wednesday plein de petites chansons très plaisantes dont l'enchanteur While you were sleeping. Ce qui arrive généralement dans ces cas là, c'est qu'on attend le deuxième au tournant, on l'écoute deux fois, bof, bof, placard. Sauf que là, In Dearland (en fait le nom de son groupe et non du disque) est arrivé sans crier gare et le charme a réopéré (...)
Il y a deux ans KMS me faisait découvrir avec émotion (partagée) le très beau premier album d'Elvis Perkins, Ash Wednesday (même le titre était superbe). Une véritable révélation tant le fils d'Anthony et de Berry Berenson venait de publier un de ces disques qui vous accompagnent dans chaque micro moment de votre vie. La guitare en bandoulière et les plaies béantes (son père mort du Sida, sa mère s'écrasant contre le World Trade Center un certain 11 septembre) exposées avec une distance salvatrice... il n'en fallait pas plus pour voir en lui un espoir folk comme chaque année nous en offre un ou deux (...)
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Il y a fort à parier que les antécédents familiaux d'Elvis Perkins pouvaient lui mettre la pression (ou lui donner un avantage par rapport aux autres) : un père comédien, Anthony Perkins, une mère photographe (Berry Berenson) dont la soeur est par ailleurs l'inoubliable Marisa Berenson, sublime égérie de Barry Lyndon. Les circonstances tragiques de la disparition de ses parents – complications du SIDA pour son père, le crash du 11 septembre 2001 pour sa mère – ont largement inspiré Ash Wednesday, premier jet pas guilleret pour un sou du chanteur/guitariste américain paru il y a deux ans (...)
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