Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Devotionall, Les Irréductibles, Planet Gong, Classe ou crasse
Icky Thump, The White Stripes, Paru en juin 2007 | |
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Les WHITE STRIPES, c'est un peu comme l'antithèse de Pierre Bachelet : deux musiciens du nord ( des Etats-Unis ) qui puisent leur inspiration dans les racines du sud ( et du blues en particulier ). En plus, ils sont encore en vie, eux, voire même au zenith de leur carrière, avec un sixième album très attendu à travers le monde. Toujours peu décidés à faire la moindre concession à ce qui constitue le socle du dogme white stripien ( musique rock sans fioriture, visuel tranché avec dominance du blanc, du rouge et du noir, sans autre couleur... ) le duo constitué par Jack White et Meg White ( ex époux, ils sont aujourd'hui séparés et non frère et soeur comme ils le laissent croire souvent ) proposent une fois de plus un son à la limite garage (...)
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Et me voila une fois encore ébloui par leur fabuleuse faculté à occuper l'espace sonore. The White Stripes, Meg White à la batterie, Jack White à la guitare et au chant. Un nouvel album qui encore une fois se surpasse. 13 morceaux où il semblerait que Jack White intègre et digère le passé, rock tirant sur le hard et le présent, rythme saccadé, parfois proche du hip-hop (...)
Définitivement (?) exilé de Detroit, le duo le plus talentueux et le plus prolifique de la scène contemporaine livre son sixième album en dix ans d’existence. Depuis les premiers enregistrements du groupe, le son des White Stripes a pris une ampleur suffisante pour quitter la sphère garage-rock et faire de ce duo un groupe incontournable dont les disques parviennent à allier démarche artistique personnelle et succès commercial (...)
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En voila un que j'attendais sans la moindre appréhension. Pas en raison de son contenu, toutefois. Je ne savais pas si Icky Thump allait être bon ou mauvais. Dans mon grand pessimisme, je le voyais plutôt mauvais, en fait. J'imaginais le duo de Détroit céder aux trompettes de la grandiloquence sans renoncer à la bizarrerie parfois mal inspirée de Get Behind me Satan (...)
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