Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
CinemaniaC, Culturopoing, La plume et l'image, Xav-B.Log, Critiques Clunysiennes, Rob Gordon, Cahier Critique, Les Irréductibles, Boustoune, Shin, Playlist Society, Asiaphilie, Dasola
The Chaser,
De Jin-ah Hong
Avec K. Yoon-seok, H. Jeong-woo
Sortie le 18 Mars 2009
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Un ancien flic devenue proxénète va rempiler dans la police pour traquer un serial killer qui tue ses prostituées... Se rendant compte que les filles qui travaillent pour lui et disparaissent ont toutes rencontré le même client dont il ne connaît que le téléphone, ce flic passé de l'autre côté, rongé par la culpabilité, va remuer ses anciens collègues et leur prêter main forte pour retrouver le monstre qui torture les prostituées avec du matériel de boucherie ...
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« The Chaser » s’affiche comme le digne petit frère de la vague de films Coréens marquant un renouveau certain dans la production nationale de ces dernières années. Assistant avant de devenir lui même réalisateur, Hong-Ji Na a choisi pour son premier film de louvoyer entre suspens, fantasque gore et imagerie traditionnelle, en y ajoutant l’humour et un indéniable sens du mouvement. Sans ambages, il nous plonge dès les premières images dans une traque hallucinée qui durera plus de vingt minutes, pendant lesquelles on assistera déjà à deux rebondissements et quelques scènes d’angoisse mémorables ...
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Persuadé qu'un tueur en série fait disparaître une à une ses filles, un ex-flic devenu proxénète part à la recherche de la dernière. Il a réalisé, en effet, qu'elles avaient toutes rencontré le même client, identifié par les derniers chiffres de son numéro de portable. Joong-ho se lance dès lors dans une chasse à l'homme persuadé qu'il peut encore sauver Mi-jin...Premier film d'un jeune réalisateur sud-coréen Na Hong-jin que le récent Festival du Cinéma Asiatique de Deauville a couronné du Lotus Action Asia 2009, ce polar atypique et débordant d'énergie entraîne le spectateur dans une traque éperdue, où l'horreur et l'action le disputent à l'humour noir et à la tragédie ...
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Présenté hors compétition dans la séléction officielle du Festival de Cannes 2008, The Chaser arrive enfin sur grand écran pres d'un an apres. Le temps pour le film de se construire une excellente réputation, celle d'un nouveau chef d'oeuvre du cinéma Corééen dans la ligné d'un Old Boy ou The Host. The Chaser est le premier film de Na Hong Jin, un dessinateur de bande dessiné qui apres un passage par la pub signe son passage sur grand écran. Pour ses premiers pas, le réalisateut demontre deja un talent incroyable qui en fera certainement l'un des nouveaus pilliers du cinéma Coréen aux cotés de Park Chan Wook ...
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Pour un premier film, "The Chaser" présente au moins l'avantage de ne pas décalquer les scénarios typiques du genre serial killer, de "Se7en" à "Zodiac" en passant par le local "Memories of Murder" : la première scène nous montre le meurtrier montant dans la voiture d'une de ses victimes, et au bout d'un petit tiers du film, le voilà qui est arrêté par la police la plus inefficace du monde, et qui mieux, passe aux aveux alors qu'il a été conduit au poste comme victime d'un tabassage en règle du proxénète ex-ripoux ...
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Après plus d'un an d'attente, voici enfin The chaser, thriller censé réinventer le genre. Même si la rénovation aurait pu être plus poussée, le film de Na Hong-jin sonne en effet un certain renouveau, proposant un schéma narratif franchement réjouissant. Imaginez un peu : au bout d'une demi-heure, le flic (qui est surtout proxénète) rencontre et arrête le tueur en série. Une heure et demie trop tôt ? Pas du tout ...
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Avez-vous déjà pris un coup de poing dans l’estomac ? Le souffle coupé, une douleur indéfinissable, quelque part entre le mal physique et le maux psychologique, et cette volonté un peu pathétique de s’en remettre aussitôt, de ne pas perdre face. The chaser est un gros coup de poing dans l’estomac ; une redéfinition du thriller que l’on sentait entériné et (sur/sous-)codifié. Et l’intelligence du jeune Hong-jin Na, alors encore élève d’une école de cinéma, est d’avoir réécrit le genre en toute modestie, en œuvrant en son sein tout en s’en distançant, sans jamais oublier l’exercice de style ...
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J’ai aimé le personnage d’abord détestable, cet ancien flic devenu proxénète qui tout en luttant pour préserver ses acquis se verra offrir une possible rédemption. J’ai aimé l’aspect inoffensif derrière lequel se dissimule le jeune tueur, qui dans un souci de ne pas faire souffrir ses victimes procède d’une bien cruelle manière…et là j’ai déjà moins aimé cet aspect un peu « Gore », nécessaire peut-être pour mettre tous nos sens en éveil et nos nerfs à vifs pour ce qui va suivre ...
Lire la suite de la chronique chez Les Irréductibles.
Film «choc» du 61ème festival de Cannes, présenté lors d’une séance de minuit, The chaser est un thriller sud-coréen noir comme une nuit sans lune, violent et désespéré. Il oppose Joong-ho, ancien flic devenu proxénète, à un tueur psychopathe, responsable de la disparition de plusieurs de ses employées. La première qualité du film réside dans ses personnages. Joong-ho n’a rien d’un type sympathique, c’est un antihéros braillard et outrancier, qui a délibérément décidé de passé du côté obscur de la force ...
Lire la suite de la chronique chez Boustoune.
S’il y a un bien un pays qui me passionne de plus en plus cinématographiquement parlant, c’est bien la Corée du Sud. En effet, malgré toute la délicatesse que l’on peut avoir à juger avec impartialité la production cinématographique d’un pays d’où nous parviennent qu’un (trop) maigre échantillon de films (évidemment triés sur le volet ; car, a fortiori, les navets doivent y naître aussi), force est de reconnaître que ceux qui réussissent précisément à s’imposer (le mot est fort étant la distribution chaotique qu’ils rencontrent habituellement) jusque dans nos salles sont d’une remarquable qualité ...
Lire la suite de la chronique chez Shin.
Derrière les deux leaders du cinéma coréen (Park Chan-Wook et Joon Ho-Bong), Na Hong-Jin fait office de sacrée challenger tant son The Chaser dégage des sentiments qui font plaisir à voir au cinéma. A la fois dérangeant, intriguant, frais et très culturellement connoté, ce premier film dépayse à plusieurs niveaux. Que se soit son mode de narration qui enchaîne scènes d'ultra violence et pures moments de vaudeville (les scènes dans le commissariat), ou dans le minimalisme des expressions des personnages ...
Lire la suite de la chronique chez Playlist Society.
Le cinéma coréen nous gâte. Depuis près de dix ans, la Corée gâte le reste du monde avec des œuvres fascinantes, à l’inventivité et la créativité subjuguant, menés tambour battant par des metteurs en scènes passionnants, fou furieux, mus par une volonté d’expression sans limites, sans compromis. Citons entre autre Kim Ki-Duk, « l’enfant terrible », Park Chan-Wook, Bong Joon-Ho ou encore Lee Chang-Dong, Im Sang-Soo et Im Kwon-Taek, cinéastes majeurs et marquants et auteurs brillants d’un cinéma de fond et de forme qui sévi depuis donc bientôt dix ans de ça ...
Lire la suite de la chronique chez Asiaphilie.
j'ai enfin vu le film sud-coréen, The Chaser, dont Shin a dit le plus grand bien. Je le rejoins totalement dans son enthousiasme. Ce film noir (âmes sensibles s'abstenir) se passe presque entièrement de nuit à Séoul ...