Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Laterna Magica, CinemaniaC, Culturopoing, The never ending blog, Boustoune, Lieux Communs, Lysao
24 City, De Jia Zhang Ke, Avec J. Chen, Z. Tao, L. Liping Sortie le 18 Mars 2009 |
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Les lecteurs les plus fidèles de Laterna Magica connaissent sans doute ma fascination pour Still Life, dernier film de fiction en date de Jia Zhang Ke, récompensé par le Lion d’or à Venise en 2006. Depuis, le cinéaste chinois a livré un premier documentaire, conçu dans le background de Still Life et intitulé Useless. Et voila maintenant, 24 City, documentaire présenté en compétition officielle à Cannes 2008. 24 City est le nom d’une cité luxueuse et moderne qui est en train d’être construite par dessus les vestiges d’une ancienne usine aéronoautique qui aura été un des fleurons de l’industrie chinoise (l’usine a même été un important sous-traitant d’Airbus) ...
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Enfin, j'ai vu "24 City" en compétition à Cannes l'année dernière, le film n'est pas facile d'accès, un documentaire d'environ 2 heures sur la fermeture à Chengdu en Chine de la gigantesque usine modèle 420 remplacée aujourd'hui par un complexe d'appartements de luxe, "24 City". Un drame, brisant des existences et des familles, qui illustre l'évolution de la Chine passée du communisme, avec son usine idéale et des ouvriers en uniforme bleu (chenille bleue sortant de l'usine, toit de têtes bleues), au culte de la réussite ...
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Dès Xiao Wu Artisan Pickpocket sorti en France en 1999 Jia Zhang-ke s'est assez rapidement imposé comme l'un des cinéastes les plus passionnants de sa génération. Pour parler de façon un peu plus subjective j'irais même jusqu'à dire que le cinéaste chinois à déjà réussi à plusieurs reprise à concrétiser mon idéal de cinéma. Personne d'autre que lui ces dernières années n'a en effet réussi à atteindre un si juste équilibre entre l'âpreté d'un naturalisme nourri de matériel documentaire et la sophistication d'une mise en scène inventant sans cesse de nouvelles formes ...
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L'histoire du devenir d'une usine de fabrication d'avions militaires à Chengdu, et de ses employés, à travers des témoignages d'ouvriers et d'enfants d'ouvriers sur plusieurs générations. Les premiers témoins sont nés dans les années 30, les derniers dans les années 80. L'usine a fini par fermer, elle laissera place à des immeubles de bon standing. Elle est encore debout mais désaffectée ...
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L’œuvre du cinéaste chinois Jia Zang Khe comprend à la fois des documentaires et des films de fiction, réflexion sur les profondes mutations de son pays, qui est passé d’un régime communiste pur et dur, héritage du maoïsme, à une économie de marché plus libérale. Son nouveau film, 24 City, en est une nouvelle fois l’illustration, et constitue même une sorte d’aboutissement dans la démarche du cinéaste ...
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Une splendeur. De documentaire, certes, mais une splendeur. Le réalsateur continue sur la ligne de son (déjà splendide) Still life mais s'est encore allégé en abandonnant le fil (ténu) de la narration. Une usine a été transportée ailleurs et remplacée par une luxueuse cité. Le réalisateur interviewe des gens, ouvriers (anciens ou "nouveaux") de l'usine en question. Le film alterne ainsi plans séquences de monologues (les gens qui parlent), gros plans ou plans d'ensemble (de la goutte d'eau sur un bout de verre aux bulldozers en train de progresser -les choses-) et des plans sublimes de "photographies filmées" où les protagonistes juste nous font face ...
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Après le sublime Still Life (cf critique), un nouveau film de Jia Zhang ke, figure incontournable du cinéma chinois à présent, arrive enfin dans les salles françaises. Oeuvre moins impressionnante que le précédent, 24 City reste néanmoins une réflexion sur l'architecture et la condition particulière de la société chinoise. Mêlant fiction (certains personnages sont joués par des acteurs) et réalité (retour sur les lieux et interviews d'ouvriers), 24 City est tout d'abord une réflexion sur le genre même du documentaire ...
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