Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
BMR & MAM, Norman Bates, Through my eyes, Neil, Xav-B.Log, Systool, Critiques clunysiennes, Sirensorrento, Blog Culturel, Cinemapolis, Une toile pour deux, Laterna Magica, Matière Focale, Loisirs & Co, Quand l'écran s'allume
Histoire vraie dans les années 70 (musique et costumes d'époque !) où un tueur en série effraie les rues de San Francisco et defraie les chroniques : David Fincher (Seven et Panic Room) réouvre l'enquête sur le tueur du Zodiac. Mais plus qu'aux meurtres et au meurtrier, le film s'intéresse d'avantage à ceux qui se sont trouvés pris dans cette histoire infernale, ceux qui s'en sont trouvés obsédés ...
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A l’heure ou Cannes devient une extension de l’Amérique, à l’heure où les bons films vus sur grand écran se comptent sur les doigts d’une main, à l’heure ou le capitalisme est plus que jamais la norme en France dans les milieux culturels, bref à l’heure ou pour voir de l’art il faut se lever tôt et aller loin, difficile d’échapper à Zodiac, œuvre encensée par la presse et diffusée sur tout les écrans du monde à l’image d’un Spiderman ou d’un Michael Bay ...
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Que de bruit autour de ce film ! Qui n’en a pas entendu parler ? Il parait que c’est LE film de l’année, tout comme Spider-man 3 et Pirate des Caraïbes 3. Et bien finalement, pour un film qui devait faire l’effet d’une bombe dans les sorties du moment, mouais, je dirais que ça ressemble plutôt à une érection presque flasque après une soirée trop arrosée (tout le monde a déjà été nez à nez avec une érection pas très franche, je suis sûr !). L’histoire est ce qu’elle est ...
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Obsession : (psychiatrie) Idée souvent absurde ou incongrue qui surgit dans la conscience et l’assiège, bien que le sujet soit conscient de son caractère morbide et la ressente comme étrangère. Pour son sixième long-métrage, David Fincher s’attache à appliquer cette définition à ses trois personnages principaux qui traque le tueur en série auto-surnommé Zodiac. Ancrant son film au début des années soixante-dix, le réalisateur de Se7en signe un polar digne de ses illustres prédécesseurs de l’époque (on pense forcément à Bullit dont le personnage principal fut inspiré par l’inspecteur Toschi ici implacablement incarné par Mark Ruffallo) ...
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Synopsis : Un tueur en série frappe au hasard des couples dans des coins isolés des Etats Unis. Il se fait appeller le Zodiac et aime jouer avec les médias en envoyant des messages cryptés. Trois hommes vont tout faire pour tenter de l'arreter jusqu'a l'obsession : le policier David Toschi, le journaliste Paul Avery et Robert Graysmith, un jeune dessinateur.
Critique : Zodiac est le premier film en Compétition au Festival de Cannes 2007 à sortir en salles. C'est aussi le grand retour du réalisateur David Fincher, cinq ans aprés Panic Room. Le metteur en scène revient au thriller mais dans un genre différent de celui de Seven, optant avant tout pour un réalisme extrement poussé. ...
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San Francisco, 1968. Le rock psychédélique bat son plein dans la capitale du Flower Power. On assiste, sur fond de claviers débridés et de percussions tribales (merci Donovan!), au meurtre de deux adolescents recherchant un coin tranquille. Ils trouveront celui qui se fera appeler Le Zodiaque. Voici comment débute le nouveau méfait de David Fincher, qu'on ne présente plus (Se7en, Fight Club, Panic Room...), natif de la Bay Area et qui a vécu, enfant, les couvre-feu et les flashes télévisés sur ce tueur en série revendiquant l'assassinat de 37 victimes. A la différence de ses précédentes réalisations, Fincher s'inspire de faits réels compilés dans le récit de Robert Graysmith, sans nous effrayer vainement avec des effets scénaristiques ...
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Et si le succès annoncé de "Zodiac" (sortie sur 332 écrans, grande salle de l'UGC Bercy complète cet après-midi) reposait sur un quiproquo ? Car si les spectateurs viennent pour retrouver les composantes de "Se7en", s'ils espèrent un thriller linéaire avec un enquête rondement menée pour identifier un serial killer ayant le souci de rendre ésthétiques ses mises à mort, ils risquent fort d'être déçus. Il y a bien un serial killer, et même un précurseur du genre ...
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Les films de David Fincher, de Se7en, à The Game en passant avec le cultissime Fight Club en font le cinéaste le plus appréciés des gens de ma génération. A raison. Il arrive à insuffler une tension et un suspense prenant à l’ensemble de ces films – exception faite pour moi de Panic Room, que j’ai trouvé franchement mauvais. Fincher nous livre un film atypique dans sa filmographie, à la limite entre le thriller et la reconstitution historique. Le travail de documentation est énorme, ça se sent. Tout est consigné précisément ...
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Très très bien menée cette enquête sur un des grands criminels d'alors. Rétrospectivement on peut dire chapeau bas aux policiers émérites que sont les Inspecteurs David Toschi et William Armstrong; ce dernier jettera d'ailleurs l'éponge après quelques années de traque et surtout à Robert Graysmith (alias Jake Gyllenhaal ) qui a fait preuve d'une outrageante perspicacité alliée à une volonté inébranlable. Alors pour ceux qui seraient par le plus grand hasard passé à côté de Cannes et de tout le ramdam qui a été fait autour de Zodiac, il s'agit d'une série de meurtres restée non élucidée jusqu'à ce jour quoique les présomptions soient très fortes pour une personne en particulier qui malheureusement ...
Lire la suite de la chronique chez Blog Culturel.
Le film de David Fincher, 2h30 de minutie enfiévrée, de personnages perdus dans des réflexions ardues, des reconstitutions au détail, a quelque chose de déroutant. Un film de tueur en série ? A peine. Celui qui donne son nom au film fait juste planer son ombre sur toute la longueur du métrage que les trois protagonistes principaux traquent au prix d’efforts considérables pour éviter qu’elle s’évanouisse complètement ...
Lire la suite de la chronique chez Cinemapolis.
Il y a du monde qui coure aux basques du Zodiac. On parle souvent de film choral pour les comédies ou les drames, mais le terme conviendrait assez bien à ce thriller. Il faut dire qu'attraper l'un des plus célèbres tueurs du XXème siècle aux USA n'est pas chose facile. Policiers et journalistes mènent donc l'enquête, récoltent des preuves, interrogent des suspects. La somme d'information reçue est très dense et comme les protagonistes du film, nous sommes assez perplexes sur qui est l'assassin. C'est une des forces du film : le Zodiac est diablement intéressant ...
Lire la suite de la chronique chez Une toile pour deux.
A la fin des années 60 et jusqu'à la fin des 70’s un tueur terrorise la Californie. Il se fait appeler le Zodiac et revendique ses meurtres via des cryptogrammes postés au San Francisco Chronicle. Police et journalistes mènent l’enquête mais le Zodiac est insaisissable ... David Fincher a donné ses lettres de noblesses aux films de Serial Killer via « Seven » en 1995. 12 ans plus tard, il ne fait pas moins bien. « Zodiac », inspiré par le tueur qui défraya réellement la chronique en Californie tout au long des années 70, est pourtant l’antithèse de « Seven » ...
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Ah, un film de sewial-killeuh ! Chez nous aux USA, c'est la panique en pleines seventies chaudes. Le tueur rôde et massacre le teenager, puis l'adulte à la chaîne. À l'instar de JAMAIS SANS MA FILLE, c'est tiré d'un fait réel. Le tueur massacra une foultitude de gens sur deux décennies, et s'amusa à informer la presse et les médias de ses agissements prochains via des lettres personnalisées signées ZODIAC ! David Fincher, inventeur du concept de davifincherizeum (davidfincherism en anglais), concept sur lequel je fus attaqué personnellement récemment en soirée, au prétexte, pas faux d'ailleurs, que Fincher n'était pas le seul ni le premier à faire du davdifincherizeum, chose avec laquelle je suis d'accord mais qui ne m'empêche pas de continuer à utiliser ce concept que je persiste à trouver bien nommé. Passons, car comme nous le verrons, l'étalement c'est la mort ...
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David Fincher est jugé par ses pairs comme un virtuose. C’est pourquoi chaque sortie d’un de ses longs métrages est attendue par la critique et … souvent saluée. Fincher est connu pour avoir réalisé “Alien III”, “Seven”, “The Game”, “Fight Club” et “Panic Room” (Loisirs and Co lui consacrera très bientôt un dossier spécial). Tantôt partagé entre scénario original et adaptation (Fight Club de Chuck Palahniuk), Fincher se penche vers le réel et nous propose avec son nouveau film de porter un regard nouveau sur l’affaire du zodiac, serial killer californien ayant sévi dans les 60′ ...
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L'histoire du film débute vers la fin des années 60, dans une petite ville des Etats-Unis. Un couple (apparemment) adultère est surpris par un homme qui leur tire dessus à bout portant, s'acharnant particulièrement sur la jeune femme, qui décède sur place. Son compagnon quant à lui survit miraculeusement, mais ne peut (ou ne veut) faire qu'une description sommaire du tueur. Peu de temps après, une lettre est envoyée au éditions du journal 'The San Fransisco Chronicle' accompagnée d'un code. L'auteur de la lettre se dit être l'auteur du crime des deux jeunes gens, et se fait appeler le Zodiac ...
Lire la suite de la chronique chez Quand l'écran s'allume.