Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Planet Gong, NeVerMinD tHe bLoGs, Classe ou Crasse
Ten new messages The Rakes Sortie en 2007 | |
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The Rakes ont débarqué il y a deux ans avec un art-punk dansant tout en ruptures. On parle là de ces riffs de guitare nerveux qui venaient lancer leurs refrains comme dans "Strasbourg" ou "The Guilt", du jeu de guitare chaloupé de "Retreat"et "Violet", ou des breaks de "22 Grand Job". L'album s'achevait sur un morceau plus synthétique à la rythmique binaire limite krautrock intitulé "Work, Work, Work (Pub, Club, Sleep)", annonciateur des temps à venir. La new wave de "All Too Human" (single paru entre les deux albums) allait suivre bientôt, confirmant que les Rakes désiraient évoluer dans une direction moins électrique. Cette évolution stylistique est aujourd'hui complète avec Ten New Messages. L'album s'ouvre "The World Was A Mess But His Hair Was Perfect", la sœur jumelle de "Work, Work, Work"...
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J’avais eu la chance de pouvoir apercevoir les Rakes en concert, en première partie de Block Party, à l’heure où leur excellent premier opus Capture/Release n’occupait pas encore le top des charts, mais arrivait déjà à avoiner sur scène, même sans Canal Satellite. Je dois reconnaître avoir pris une grosse claque qui a su effacer la suite de la soirée. Tout a commencé par un EINS ZWEI DREI VIER péremptoire. Pas de meilleure accroche depuis les Ramones. Avec ça, un bassiste ostensiblement sous substances, l’œil figé et les pupilles anormalement dilatées...
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Une chose est sûre : les Rakes ne relanceront pas l'industrie du disque avec l'artwork de Ten New Messages, leur 2è album. Exit les stickers déjantés du dernier Beck ou l'origami psychédélique du récent disque d'Of Montreal, place à une pochette couverte d'un message en morse conçu pour des daltoniens. Quant au livret, il se limite tout simplement aux quatre de couverture. Bof. On se prend même à trouver un charme certain au fumiste tabagique animant le premier album des Arctic Monkeys ...
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