Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Matière Focale, Culturopoing, CinemaniaC
Sisters, De Douglas Buck, Avec C. Sevigny, L. Doillon, S. Rea Sortie le 7 novembre 2007 Disponible en DVD |
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Il faut bien le dire, on est assez surpris par l'entame du film de Douglas Buck, réalisateur de FAMILY PORTRAIT, sorti dans l'indifférence général il y a peu et ancien scénariste pour la firme TROMA (boîte de production qui, pour ceux qui ne connaissent pas, est aussi une sorte d'école de cinéma in vivo et gratuite, où on ne fait quasiment que du cinéma fantastique très B et même souvent carrément Z, généralement très drôle). En effet, si le décorum de la fête des enfants malades nous place un peu facilement dans la symbolique enfantine ...
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Remake de Sisters de Brian de Palma, le Sisters de Douglas Buck (2006) s'en démarque par de nombreux partis-pris qui font l'intérêt et la force - pour quelques faiblesses peut-être - du film, qui résiste donc à l'éclipse du choc esthétique de l'oeuvre originelle. Il s'engage en effet sur un terrain psychologique qui lui permet de convoquer la relation des soeurs ex-siamoises sous un angle plus humain, en prise entre déterminisme, nécessité, souffrance et amour. Buck conserve la scène de meurtre commis par l'une des soeurs et dont la journaliste est témoin, mais il l'insère dans une dynamique radicalement différente ...
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Il ne faut pas se laisser impressionner par l’affichage gore de ce film sur la photo de couverture du DVD, pas adaptée à mon avis, une photo de deux fausses fillettes à nattes en manteau gris dans le jardin d’hiver d'une clinique d'un autre temps aurait mieux convenu… Car ce "Sisters" de Douglas Buck est plus romantico-fantastique que l’original de Brian de Palma malgré ses quelques scènes sanguinolantes filmées façon rétro en hommage au giallo* italien (procédé du rack zoom sur une musique ad hoc : très efficace pour effrayer). Douglas Buck est pétri de bonnes influences, de Hitchcock au Polanski de "Répulsion", en passant par "Personna" de Bergman et le nouvel Hollywood, comme celui de "Cruising" de Friedkin, par exemple, qu'il cite pour sa bande son en post-synchronisation créant un univers de malaise ...
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