Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Psykokwak, Culturopoing, Cinemapolis
Les Larmes de Madame Wang, De Liu Bingjian Avec L. Qin, X. Wei, J. Zhu Sortie le 26 Mars 2008 |
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Avec un ami chinois j’ai vu le film de Liu Bingjian. Le nom du réalisateur me disait quelque chose, en effet il y a quelques années j’avais vu Le protégé de Me Qing (NanNanNüNü). Une sorte d’OVNI chinois. Un jeune provincial débarquait à Beijing et il était accueilli dans la boutique de prêt-à-porter de Me Qing. Le jeune homme plutôt timide refusait les avances de la boutiquière, et il préférait traîner dans les toilettes publiques. Il y rencontra deux jeunes altersexuels dont l’un collectait les graffitis et un autre animait une émission de radio pirate. Curieuse sensation de voir cette chronique qui me replongeait dans les années d’avant 80 en France ...
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Divisée entre un désir toujours grandissant d'expansion, de production et de construction, et la crise sociale et culturelle qui en accompagne la démesure, la Chine est encline à produire un cinéma de symptôme, dont Les larmes de Madame Wang serait un représentant pertinent. Tourné en 2002, dans des conditions souvent difficiles et en contournant des interdictions lourdes, Les larmes de Madame Wang parvient à faire émerger un message fort ...
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La Pleureuse, ou comment Liu Bingjian fait de son premier drame une tragicomédie à la Balzac, non pas pour dépeindre uniquement "un constat cinglant des ravages sociaux de la Chine", comme le disait un spectateur à la fin de la projection, ou filmer en opposition à une propagande cinématographique, mais au fond pour nous parler de tradition, du mariage, de la mort... de la vie, en somme, dans cette province reculée du Guizhou ...
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