Source : Lieux communs
SAINT AMOURde Gustave Kervern et Benoît Delépine Ouf. On revient de loin. A la fin du film (et du voyage), on a le sourire. Heureusement. Le début du film est... laborieux. Ca ne fonctionne pas. Ni le jeu, ni les dialogues, ni la mise en scène. Ca sonne faux, comme ça joue. On sourit de temps en temps en temps, mais on se demande comment ça va bien pouvoir continuer [..]