Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Playlist Society, Cahier Critique, Systool
Noble Beast, Andrew Bird, Paru en 2009 |
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Après une intro sympathique où l’homme qui aime siffler prouve qu’il n’a pas changé, « Masterswarm » vient nous enchanter. Ça commence comme du folk, ça part sur une musique plus world, avant de laisser les violons et un petit air à la Ennio Moriconne (encore ces sifflements), venir bouleverser nos habitudes, puis ça se dévoile comme une chanson au songwriting irrésistible, 6 minutes 30 d’apaisement. « Fitz & Dizzyspells » se veut plus enjoué et plus péchu (tiens Andrew siffle encore). Puis l’intro de « Effigy » vient jouer de noblesse, avant de laisser la chanson se faire emporter par une guitare acoustique (...)
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L’EP Soldier on nous avait gentiment offert l’année dernière une mise en bouche qui, aussi succulente fût-elle, ne laissait absolument pas présager un retour aussi gracieux et excitant. Songwriting volubile, orchestration élégante, Noble beast parachève le style singulier de Bird, « l’homme-orchestre », le génie modeste, l’amoureux des instruments, atteignant ici un sommet sans égal en terme d’intelligence et de finesse musicale. Explorant toujours plus subtilement la multiplicité et la surimpression de compositions instrumentales, Andrew Bird sillonne les genres pour arriver in fine au sien, forcément unique et forcément génial (...)
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Perché sur mon balcon, avec la verdure, le lac et les montagnes en arrière-plan, j'écoute le dernier album d'Andrew Bird venant merveilleusement compléter ce tableau naturaliste. Noble Beast paraît en effet deux ans après l'excellent Armchair Apocrypha, le musicien de Chicago nous délivrant 14 titres (dont 3 brèves instrus) au caractère apaisé, lumineux et sublime. Rompu à la fameuse méthode Suzuki, Bird a fait germer dès son plus jeune âge ses multiples talents artistiques et s'est distingué au sein de THE BOWL OF FIRE à la fin des 90 (...)
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