Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
In the mood for Cannes, CinemaniaC, Les Irréductibles, Xav-B.Log, Critiques clunysiennes, Psykokwak, Through my eyes, Dr Orlof, Blog Culturel, Traou, Une toile pour deux, Cahier Critique, Lysao
L’évènement de ce vendredi 18 Mai fut d’abord la projection du premier film français en compétition officielle : « Les chansons d’amour » de Christophe Honoré. Si ce titre vous faisait espérer un mélodrame sirupeux avec des chansons vociférant des "je t’aime, moi non plus, encore et toujours, plus du tout, à la folie", passez votre chemin. D’amour il est pourtant question. D’amours même ...
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Si ce film n’avait pas été sélectionné à Cannes, je n’y serais certainement pas allée, ayant été exemptée de l’enthousiasme collectif déclenché par le précédent film de Christophe Honoré "Dans Paris", mais la curiosité à pris le dessus. Si la recette est la même, le film est beaucoup plus abouti pour deux raisons la BO excellente et la construction narrative nickel. On retrouve dès le début plus que des références à la Nouvelle Vague, le premier plan de Ludivine Sagnier de dos est la copie de Catherine Deneuve dans "Les Parapluies de Cherbourg" de Demy ...
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C'est l'amour, la vie ,la mort. c'est un drame comme la vie en comporte tant. C'est raconté et de quelle façon en chansons.C'est l'amour, à la française donc toujours un peu compliqué, l'amant traditionnel cède la place à une relation en trio, relation pas toujours aisée on le devine. C'est l'amour, la mort, le sexe comme un parfum léger car toujours suggéré, jamais monté et discret. C'est encore et toujours les chansons qui nous guident, nous emportent. Sexualité, bisexualité, homosexualité , là encore légereté et musique. C'est une oeuvre romantique, le romantisme de notre époque, voila c'est La Nouvelle Vague ...
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SYNOPSIS : Par amour Julie a accepté de faire menage à trois avec la collegue de son petit ami mais cette situation finit par devenir pesante pour la jeune femme qui aimerait etre à nouveau seule avec Ismaël mais n'ose lui avouer. Elle sucombera d'un arret cardiaque laissant son petit ami trouver du reconfort aupres d'un garcon.CRITIQUE : Les Chansons d'Amour est l'un des films de la selection du Festival de Cannes a avoir le droit à une sortie simultannée en salles là ou generalement les spectateurs devaient patienter plusieurs mois. L'occasion de découvrir l'un des films français qui etaient donnée parmis les favoris mais qui finalement reviendra bredouille de cette soixtantième édition.
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Je viens de relire ma critique de "Dans Paris", et je m'aperçois que ce que j'ai rédigé il y a sept mois correspond à ce que je m'apprêtais à écrire sur "Les Chansons d'Amour", à commencer par le choix de la photo d'illustration. Non seulement Christophe Honoré a la manie fatigante de citer les grands anciens de la Nouvelle Vague, mais maintenant il en arrive après quatre films à citer ses citations !
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Titre un peu curieux pour ce film de Christophe Honoré : « Les chansons d’amours » et nous serions tentés de compléter par … . Nous en entendrons une douzaine, belles à écouter comme un accompagnement pour illustrer l’histoire d’Ismaël (Louis Garrel). Un jeune homme (déjà bobo) qui traverse la vie en la prenant tranquillement selon ses humeurs, au gré de ses déambulations dans Paris, entre Bastoche et la Porte St Martin. Il parcourt des rues populaires que le réalisateur filme avec justesse. Quand il ne travaille pas dans un magazine d’info sur Internet il partage sa vie avec Julie (Ludivine Sagnier) auquel s’est joint Alice (Clotilde Hesme).
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Je n’avais pas spécialement envie d’aller voir ce film, et ce pour plusieurs raisons : je n’avais pas aimé Dans Paris, du même réalisateur, où tout le monde s’était déjà touché en le vendant comme “Le film ex-tra du moment ! Comment ? T’as pas aimé ?! Ne répète jamais ça devant mes amis !”. Je n’avais pas non plus été conquis par la présence de Louis Garrel à l’écran, certes originale, mais assez peu cohérente avec le jeu de ses comparses. Enfin, là, la bande annonce d’un film “avec chansons”, ça me motivait moyen. Et puis, allez savoir. L’ennui d’un lundi matin sous la pluie, les critiques que j’apprécie qui globalement, en font un bon film, j’y suis allé.
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Avant d’entrer dans le vif du sujet, à savoir le quatrième film du toujours très honoré Christophe -quelques mois à peine après son lamentable Dans Paris-, permettez-moi de vous livrer quelques réflexions sur Jacques Demy, modèle avoué des Chansons d’amour. Il me semble qu’avec le temps, Demy est devenu l’un des cinéastes les plus incompris qui soit, autant par ses détracteurs que par ses zélateurs.
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Tout à fait remarquable film des sentiments que Christophe Honoré nous propose avec un duo (Louis Garrel-Ludivine Sagnier) et la jeune et belle Clotilde Hesme qui surprend par sa fraîcheur et sa finesse, je dois dire que j'ai été très très agréablement charmé par ce film où les chansons d'amour résonne et résonneront encore longtemps en moi, beauté des textes et des paroles, temps de les mettre en perspective, de les humer, des les faire siennes. D'ailleurs écouté ou réécoutez en quelques unes sur l'espace My space du film Les chansons d'amour avec entre autres je n'aime que toi.
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Cela faisait très longtemps que je n’avais été à ce point submergée d’émotion au cinéma. Quand je suis entrée dans la salle, il faisait beau dehors. Quand j’en suis sortie, le ciel gris ne justifiait pas mes lunettes noires. Mes yeux gonflés de larmes, si. Christophe Honoré est un conteur du deuil. Il m’avait déjà bouleversée il y a quelques années avec « 17 fois Cécile Cassard », dans lequel Béatrice Dalle incarnait une jeune veuve qui tente de retrouver un chemin de vie. Et je me rends compte qu’il est également l’auteur de « Après lui », le film de Gaël Morel qui traite de la mort d’un fils, sorti au même moment que ces « Chansons d’Amour » qui m’ont fait pleurer comme rarement au cinéma.
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Un film bien résumé par son titre : Les chansons d'amour. On pourrait craindre d'avoir des paroles redondantes si on part du principe que toutes les chansons d'amour sont les mêmes. Mais le sujet est suffisamment vaste pour varier les plaisirs : amour à deux, à trois, hétéro ou homo, ou plus simplement famillial, le spectre des thèmes abordés est assez large. De plus, les parties musicales sont très bien intégrées dans l'histoire, elles se fondent dans le récit (même si la première fois qu'un des personnages se met à chanter m'étonnera toujours, quelque soit la comédie musicale !). Pour ce qui est du style, on reste dans la chanson française pur jus, avec des rythmes assez seventies je trouve ...
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L'évidence première de la Nouvelle Vague, c'est la liberté. Des genres, des jeux, des codes. Chez Christophe Honoré, ces notions semblent se délayer et installer plutôt une paraphrase des grandes idées. Dans ses "Chansons d'amour", il évoque, cite sans jamais recréer ni transcender ses influences. En fait, on assiste un "name-dropping" cinématographique assez poussif, sans grande évidence formelle. En premier lieu, Demy. Chez Honoré, et à la grande différence du maître, les chansons n'apportent que lourdeur et encombrement quand bien même elles devraient éclairer les émotions ...
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Avant La belle personne, adaptation moderne et assez désastreuse de La princesse de Clèves (cf billet), Christophe Honoré avait déjà réalisé Les chansons d'amour, grand succès à sa sortie, encensé par certains et critiqué par d'autres, notamment en raison de son attachement très profond et permanent aux films de la Nouvelle Vague ...