Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
CinemaniaC, Through my eyes, Cahier Critique, Dr Orlof, Les irréductibles, Rob Gordon
La Fabrique des sentiments, De Jean-Marc Moutout Avec E. Zylberstein, J. Bonnaffé, B. Putzulu Sortie le 6 Février 2008 |
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Si, par principe, il vaut mieux rédiger ses critiques avant de lire les dossiers de presse (charte critique du blog Matière Focale), j'ai cédé à la tentation de lire celui-là et c'est étonnant à quel point le film m'a paru plus intéressant à la lecture des interviews qu'à le voir... Car si le sujet du speed-dating, traité de manière brillante dans un film allemand "Shoppen", vu au festival du cinéma allemand cet automne, m'avait accrochée, ici, ce n'est pas le sujet... Le sujet, c'est Elsa au superlatif, Elsa Zylberstein, le genre de rôle qu'une actrice doit avoir du mal à refuser quand elle est de tous les plans dont 70% sont des gros plans.
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Après avoir confronté Jérémie Renier à ses démons intérieurs au moment de faire licencier des employés il y a quelques années dans Violence des échanges en milieu tempéré, le marseillais Jean-Marc Moutout écrit et réalise son second long métrage La fabrique des sentiments, ou Elsa Zylberstein campe une jeune femme contrariée en amour. Clerc de notaire sur le point de s’associer à l’étude, Eloïse est une jeune femme belle et bien entourée à qui il ne manque qu’une seule chose : l’amour ...
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Ce deuxième de Jean-Marc Moutout pourrait aisément se nommer Violence des rapports amoureux en société. D’une part, parce que de la même façon que dans son précédent film, il ausculte les maux et les malaises d’une société en pleine mutation. De l’autre, il s’immisce de nouveau dans les troubles des êtres qui la compose. Avec les rapports en entreprise où la naïveté d’un jeune employé se voyait rapidement remise en cause et créait chez lui ce sentiment commun d’opportunisme, Moutout démontrait alors son fin talent de sociologue ...
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J’ai découvert Jean-Marc Moutout à Clermont-Ferrand. Son court-métrage Tout doit disparaître remporta cette année-là le grand prix du festival. Pour ma part, il m’avait considérablement ennuyé. Cette chronique naturaliste évoquant un certain malaise social (le chômage…) m’avait semblé assez platement filmé. Une fois de plus, le « fond » primait sur la forme et c’est parce que je craignais de retrouver cette dichotomie dans son premier long-métrage, Violence des échanges en milieu tempéré, (un cinéma se contentant d’illustrer mollement –Jean-Marc « Tout mou » : pardon, je n’ai pas pu m’en empêcher !- un propos « engagé ») que je ne l’ai toujours pas vu ...
Lire la suite de la chronique du Dr Orlof.
Et moi de me demander, que retenir de ce que j’ai vu ! Et dans ma tête, comme une ritournelle…oui mais la solitude… Car enfin c’est bien pour échapper à celle-ci, que s’inscrit Eloîse (Elsa Zylberstein) à ces fameuses séances de Speed Dating…. Oui..mais La solitude.. Mais pourtant, elle est plutôt gâtée la miss, elle exerce un job à responsabilité et a de ce fait de nombreux contacts. D’accord notaire peut aussi être considéré comme un job pas très bandant, mais il lui procure un niveau social élevé et des perspectives d’avenir ...
Lire la suite de la chronique chez Les irréductibles.
Mise en scène au cordeau, ton imperturbablement sérieux, le premier film de Jean-Marc Moutout avait quelque chose d'un peu rigoriste mais pouvait difficilement laisser indifférent. Violence des échanges en milieu tempéré disséquait les mécanismes du dégraissage d'entreprise à travers la destinée d'un jeune type chargé de choisir qui garder et qui licencier. La fabrique des sentiments part du même principe pour traiter du speed-dating et du marché de la séduction ...
Lire la suite de la chronique chez Rob Gordon.