Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Matière Focale, Acide Critique, Xav-B.log, Rob Gordon, Les irréductibles, Itinéraire(s), Critiques clunysiennes, Culturopoing, Blog Culturel
L'Homme sans âge, De Francis Ford Coppola, Avec T. Roth, A. Maria Lara, B. Ganz Sortie le 14 novembre 2007 |
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C'est le retour de Gros Francis, et même si en soi il n'y a pas de quoi s'exciter, surtout si on a vu les derniers (L'IDEALISTE et l'ignoble JACK), on espère un peu que le Monsieur penche cette fois vers quelque chose de plus sérieux et de plus consistant, et c'est l'affiche, ben oui, l'affiche de L'HOMME SANS AGE qui cette fois attire notre curiosité, celle-ci étant ouvertement construite dans un esprit années 70 et film fantastique. Approchons nous... La Roumanie à la veille de la seconde guerre mondiale. Tim Roth, un vieux linguiste de plus de 70 ans, est très inquiet. Epuisé par l'âge et les souvenirs, traînant avec difficulté son corps de vieux monsieur, il se demande s'il aura assez de temps pour finir son énorme travail, l'oeuvre de sa vie: ses recherches sur les origines du langage qu'il associe aux croyances religieuses ...
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C'est un peu éberlué que l'on sort de "l'homme sans âge". Mais à bien y regarder, on a là tous les éléments de ce qu'ici on méprise dans le cinéma. D'abord une histoire d'un ridicule achevé - adaptée d'une nouvelle de Mircéa Eliade, dont on rappellera au passage que malgré sa culture immense il fut aussi un réactionnaire fini, se vautrant même dans le fascisme à ses heures - mais le film s'empresse, politiquement correct oblige, de nier cet aspect-là en prenant les distances nécessaires ...
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Synopsis : Un homme de 70 ans est frappé par la foudre et commence mysterieusement a rajeunir. Ce cas medical exceptionnel ne tarde pas a susciter la curiosité de divers scientifiques Nazi, Russes ou encore américains forcant le septuagenaire a fuir de pays en pays.
Critique : L'Homme Sans Age marque le grand retour de Francis Ford Coppola aprés pres de dix ans d'absence. Le réalisateur du Parrain et de Dracula n'avait rien réalisé depuis L'idealiste mais la lecture d'une nouvelle de Mircea Eliade lui a redonné l'envie de diriger un nouveau long métrage. ...
Critique : L'Homme Sans Age marque le grand retour de Francis Ford Coppola aprés pres de dix ans d'absence. Le réalisateur du Parrain et de Dracula n'avait rien réalisé depuis L'idealiste mais la lecture d'une nouvelle de Mircea Eliade lui a redonné l'envie de diriger un nouveau long métrage. ...
Lire la suite de la chronique chez Xav-B.Log.
L'auteur de ces lignes doit tout d'abord avouer ses péchés : il n'a pas vu les dix dernières minutes de cet Homme sans âge, trop occupé à sombrer dans les bras de Morphée. Quand monsieur Coppola lira ces lignes, qu'il en profite pour accepter mes excuses. D'un point de vue purement comptable, son film y gagnerait presque ; j'ai suffisamment de respect pour ne pas mettre 2/10 à un film dont j'ai raté la fin. Allez hop, Francis, je double ma note rien que pour me faire pardonner ...
Lire la suite de la chronique chez Rob Gordon.
Un étonnant et plaisant mélange des genres. Sur fond de fantastique mais aussi une belle et douloureuse histoire d’amour. Une œuvre de science fiction, avec ce fait de départ qui échappe au domaine du possible. Un homme qui frappé par la foudre, survit et…rajeunit. L’auteur en abolissant les frontières du réel permet alors à son personnage de traverser l’histoire et d’avancer dans sa quête du graal, le sien, comprendre et remonter à la source du langage, plus loin encore, avant même celui-ci ...
Lire la suite de la chronique chez Les irréductibles.
Mircea Eliade est un intellectuel qui fait encore débat : son antisémitisme et son passé fasciste occultent souvent une œuvre dense, foisonnante, et marginalisée. Historien des religions, mythologue et philosophe, il écrivit aussi quelques nouvelles dérangeantes, telle Le Temps d'un centenaire adaptée au cinéma par le géant Francis Ford Coppola ...
Lire la suite de la chronique chez Itinéraire(s).
En allant voir "L'Homme sans Age", j'ai ressenti un peu la même émotion que celle que j'avais éprouvée en allant voir "Full Metal Jacket" ou "Eyes Wide Shut" : après des années de latence, le plaisir de découvrir l'oeuvre d'un très grand réalisateur, et de recevoir un film comme on n'en fait plus, comme un écho de passé du cinéma. Ce qui paraîtrait insupportablement prétentieux venant d'un jeune réalisateur semble ici pleinement légitime ...
Lire la suite de la chronique des Critiques clunysiennes.
Dix ans de silence. Après The Rainmaker en 1997, Coppola n'était plus que l'homme des projets avortés (dont son alléchant Megalopolis qui ne pouvait aboutir dans le climat qui suivit le 11 septembre). Tout au plus figurait-il désormais comme producteur exécutif au générique des films de sa fille... Se pouvait-il qu'un des plus grands cinéastes américains ait mis fin à sa carrière, à l'instar d'un Michael Cimino dont on attend toujours des nouvelles (toujours pas de tournage annoncé pour La condition humaine) ...
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Difficile de rester insensible devant les films de Robert Redford à portée politique sauf que celui-ci pêche un peu... Il s'agit de trois diptyques montrés en parallèle qui sont intimement liés. L'un à vocation a priori politique est la vente de la nouvelle stratégie du Sénateur JasperIrving (Tom cruise), un faucon qui devrait très bientôt se présenter aux primaires pour la course à la présidence ...
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