Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Critiques clunysiennes, Cinéfeed, Rob Gordon, Les Irréductibles, Cahier Critique, Psykokwak, Neil, Blog Culturel, Cinémapolis, Through my eyes, Goin' to the movies, Xav-B.Log, Playlist Society, Cinéfilms, BMR & MAM, Dasola, Uniko, Une toile pour deux, The never ending blog, Mickael, Devotionall
Le film d'adolescents nord-américain (ici, le Canada anglophone, Dancing Elk oblige) représente un genre typique du cinéma et des séries télé du Nouveau Monde : longs couloirs bordés de casiers, frime des gars de l'équipe de foot US, cheerleaders, et permis à 16 ans. Ici, on retrouve tous ces ingrédients, sauf qu'ils ne servent que de toile de fond à l'intrigue, et que la gamine qui remonte le flot de élèves à contre-courant exhibe un ventre proéminent ...
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Juno, dernière pépite du cinéma indépendant américain, a tous les attraits de la petite comédie fraîche et sympathique susceptible de plaire à un large public. Sans fard ni paillettes, le réalisateur ne cherche pas à faire illusion: il nous raconte, en toute simplicité, l'histoire d'une jeune adolescente de 16 ans qui, entre un cours de sciences nat et une visite au centre commercial, tombe enceinte après avoir fait perdre sa virginité à son meilleur ami, fan de tic tac à l'orange ...
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Il en faut peu pour être heureux. Juno est un faux petit film, de ceux qui n'ont l'air de rien mais parviennent à vous chavirer la tête en moins de temps qu'il n'en faut pour tomber enceinte. Voilà en tout cas l'éclatante confirmation ce que l'on avait pressenti avec Thank you for smoking : Jason Reitman est nettement plus doué que son papa. Un paternel qui, au milieu du ventre mou qui lui sert de filmographie, avait lui aussi parlé de gestation et de parturition (quand j'utilise ce mot, je me sens savant) dans Junior, comédie lourdaude avec un Schwarzie enceint jusqu'aux dents (doivent bien se marrer, en Californie) ...
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Juno a 16 ans, et plutôt que se refaire une énième série télé, elle a préféré dépuceler son copain de voisin. Seulement voila il lui faut bien se rendre à l’évidence, après trois test de grossesses, tous sont positifs. Du haut de ses seize ans Juno a du caractère et du ressort. Annoncer la nouvelle à ses parents, en fait son père et sa belle-mère malgré une légère angoisse n’est pas si difficile. Mais bon pas question d’arrêter les cours, que faire alors ? Un rapide passage au « planning familial en vu d’un éventuel avortement et l’ambiance sinistre qui se dégage de l’endroit ? Pas kiffant ...
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Tandis qu’American Pie et la quantité assez navrante d’ersatz qu’il a engendré s’achèvent tous sur le même but enfin atteint : le dépucelage – à priori seule résolution plausible aux troubles adolescents –, Juno commence justement à cet instant. Après une cinquantaine de litres de Sunny Delight ingurgitée et trois tests effectués, Juno en arrive toujours au même constat, elle est enceinte. Suivant le périple de la jeune nerd (t-shirt vintage, sweat à capuche, aucun slim et téléphone hamburger), Jason Reitman fait preuve d’énormément de finesse, ne prenant ni le contre-pied des idéaux puritains sur la question ni son exact opposé ...
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Juno, 16 ans tombe enceinte presque par hasard. Plutôt que de s’ennuyer à regarder The Blair Witch Project à la télé, elle a déniaisé Paulie son petit copain. Et maintenant que faire du bébé ? Un petit tour au centre d’orthogénie la dissuade de recourir à l’avortement ! L’accueil, les clients, tout cela lui paraît bien glauque, bref sur un coup de tête elle renonce. Les parents bienveillants acceptent quasiment sans moufeter sa décision de mener à terme sa grossesse. Mais comme elle se considère trop jeune pour l’élever, elle consulte les petites annonces pour dénicher des parents adoptifs. Elle repère un couple idéal à ses yeux, ils sont riches, beaux, jeunes ils feront l’affaire. Il ne reste plus qu’à la suivre durant sa gravidité ...
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On peut dire que Jason Reitman est un petit veinard : depuis le succès (relatif mais nom moins mérité) de Thank you for smoking, le fils du réalisateur du mythique Ghostbusters semble avoir la cote. Ce qui a sans doute joué en sa faveur quand il s’est agit de trouver un réalisateur pour mettre en scène le scénario du moment, celui de Diablo Cody. Cette ex strip-teaseuse débauchée sur le net où elle racontait des anecdotes sur son ancien métier ...
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Bon, allez j'avoue, naturellement je n'y serai pas allé, cela me semblait être la dernière comédie "niaiseuse" américaine. Mais des avis de part et d'autres m'ont convaincu et tant mieux, un réel bol de fraîcheur et de spontanéité. C'est réellement très sympa ... Un jour où elle s'ennuie, Juno décide de coucher avec Bleeker, elle a 16 ans, il adore les tic tac goût orange et aime courir tous les jours. Elle est aussi décalé que lui peut l'être ...
Lire la suite de la chronique chez Blog Culturel.
Juno a 16 ans et c’est une freak (une fille bizarre, en langage de collégien US) qui plaît au capitaine de l’équipe de football, mais qui préfère coucher avec Bleek, l’échalas fan de tic-tac orange, membre l’équipe de jogging en short jaune super brillant. Elle déteste que les adultes lui demandent si elle est “sexuellement active”, mais après l’apparition résignée d’un petit “plus” rose sur son troisième test de grossesse de la journée, il faut bien accepter la réalité : elle est enceinte ...
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Parce que j’étais déçu de ne pas vous avoir pu vous parler de Juno avant sa sortie, parce que les critiques étaient excellentes et que Kinoo insistait régulièrement sur la nécessité impérieuse d’aller le voir, j’ai cédé et suis mater Juno lors d’une sortie ciné entre amis. La première grande surprise, ce fut Ellen Page, cette jeune canadienne de 20 ans qu’on avait vu dans le très bon Hard Candy et qui se révèle être une actrice formidable dans un rôle qui, à ma grande surprise, n’est pas dénué d’humour. Passé l’enchantement Ellen Page, c’est le plaisir de remballer mes a priori sur le film pour me rendre compte que le scénario n’est pas si niais que ça ...
Lire la suite de la chronique chez Through my eyes.
L'événement indépendant américain du moment, comme en témoignent les multiples nominations aux Oscars. Juno est le parfait exemple du feel good movie dont Hollywood a le secret. Jason Reitman, réalisateur du plutôt réussi Thank you for smoking, conte avec énergie et humour les mésaventures de son héroïne de seize ans tombée enceinte à la suite de son premier rapport sexuel (tout de même, ce n'est pas de chance !). Si j'ai trouvé le démarrage un peu poussif, je n'ai pas manqué par la suite d'apprécier hautement cette comédie jubilatoire qui passe à toute vitesse. Le film repose avant tout sur son personnage central terriblement attachant ...
Lire la suite de la chronique chez Goin' to the movies.
Synopsis : Juno, jeune fille de 16 ans, tombe malencontreusement enceinte apres avoir fait l'amour pour la premiere fois avec son meilleur ami Bleeker. Ne souhaitant pas garder l'enfant elle décide de le confier a une famille d'accueil mais avoir un enfant a 16 ans n'est pas chose aisée et Juno va devoir affronter le regard des autres et faire les bons choix.
Critique : Attention evenement ! Apres avoir ete recompensé a plusieurs reprises lors de festivals majeurs a travers le monde, voici enfin sur nos ecrans le nouveau film independant americain reference. Nouvelle perle d'un cinema intelligent qui nous avait apporté il y a deux ans Little Miss Sunshine. ...
Lire la suite de la chronique chez Xav-B.Log.
Faisant suite au très sympathique Thank You For Smoking, Juno est le second film de Jason Reitman, le fils de Ivan Reitman. Un peu partout, on peut lire pas mal de compliments au sujet du petit Jason et je ne compte déjà plus le nombre de fois où j’ai lu que ce dernier était bien plus talentueux que son illustre père. Sans remettre ici en cause les qualités réelles du plus jeune des deux réalisateurs et avant d’attaquer la chronique à proprement dit, je voudrais profiter de cet article pour réhabiliter Reitman père ...
Lire la suite de la chronique chez Playlist Society.
Voici l'expression que je viens de découvrir et qui me parait idéale pour décrire ce film : c'est un feel-good movie. C'est vraiment un film qui donne la pêche, on rit beaucoup avec jeune mère complètement naturelle avec un langage d'ado dans une situation d'adulte. Un pur produit du cinéma indépendant américain, loin des films à gros budgets. L'actrice principale est excellente ...
Lire la suite de la chronique chez Cinéfilms.
Après la vague des petits films peu distribués de ce début d'année mais qui ont fait un tabac dans les petits cinés qui avaient bien voulu les diffuser, Juno empoche le jackpot et les grandes chaînes de ciné essayent de rattraper le train. Faut dire que Jason Reitman, le réalisateur (le fils du papa de Ghostbusters), s'est appuyé sur un scénario de Diablo Cody, ancienne strip-teaseuse, toujours blogueuse et devenue la dernière coqueluche de Hollywood. Juno est le film sans prétention mais sympa en diable ...
Lire la suite de la chronique chez BMR & MAM.
J'ai vu Juno de Jason Reitman avec mon ami. Très sincèrement, vu l'engouement général, je m'attendais à un film plus enlevé et même plus drôle. De temps en temps, il y a même quelques flottements dans le scénario mais le film vaut surtout pour Ellen Page qui est absolument formidable. Les Etats-Unis sont quand même un pays étonnant où une femme peut décider de donner (ou vendre?) son bébé à naître ...
Lire la suite de la chronique chez Dasola.
C'est pas un drame !!!! Voilà donc la grande réussite de ce film, ce n'est pas un drame. La jeune Juno est loin de se laisser abattre. Son père et sa belle-mère, même s'ils ne lui donnent pas leurs bénédictions, sont loin de la laisser tomber. Le père du mouflet est loin de revendiquer quoique ce soit, lui il veut continuer à manger des tictacs et à jouer de la guitare ...
Lire la suite de la chronique chez Uniko.
On peut en raconter, des histoires, à partir d'un fauteuil. Par exemple, celle de Juno, ado qui tombe enceinte à peine devenue active sexuellement. Pas de bol, mais elle le prend avec philosophie et passe en revue les solutions possibles : avortement, adoption, le garder ? Du déjà vu mille fois dans des séries télé, mais l'intérêt ici est plus dans le ton et les personnages. Clairement moins loufoque que Little Miss Sunshine auquel la promo le comparait ...
Lire la suite de la chronique chez Une toile pour deux.
Elle est mignonne, voire jolie, piquante, théâtrale, s'habille avec une négligence très étudiée, se balade avec une pipe à la bouche, fourmille de réparties cinglantes et cocasses. On l'a appelée Juno parce que c'est le nom de l'épouse de Zeus...mais son petit ami ne sort pas de la cuisse de Jupiter. N'empêche : elle a réussi à lui tomber son short orange sur un fauteuil dans une clairière ...
Lire la suite de la chronique chez The never ending blog.
Impossible de ne pas faire le lien avec le succès de Little Miss Sunshine (sorti fin 2006), autre porte drapeau du cinéma indépendant américain et du renouveau de la comédie outre-atlantique, tout le monde a abondamment utilisé ce parallèle, recevable certes, mais pas si évident. Alors que Little Miss Sunshine jouait sur un côté décalé voire déjanté, et alors que le scénario ne tournait qu’autour du voyage ...
Lire la suite de la chronique chez Mickael.
Pris par le temps, ManuX ne peut pas vous délivrer sa chronique à temps cette semaine. Invitons le cependant à se mettre sérieusement au travail, pour mercredi prochain! En attendant : Elle est jeune, et elle se fait faire un gamin. En tous les cas, se « faire faire » est peut être un mensonge, dans la mesure où la grossesse n’est pas désirée. Mais elle décide le garder, et ce n’est pas simple, quand on est encore une adolescente. Voilà pour le plot ultra simplifié du film JUNO, de Jason Reitman ...
Lire la suite de la chronique chez Devotionall.
Commentaires
Re: great
Vous avez un talent remarquable pour trouver de nouvelles idées. J'aime votre façon Snow Rider 3D de penser et la façon dont vous exprimez vos idées dans cet essai. Votre écriture m'a vraiment surpris. Je vous remercie de rendre mon expérience plus belle.
davis john - 09.03.23 à 06:11 - # -