Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Culturopoing, Planet Gong, Playlist Society, Cahier Critique
It's Blitz, De Yeah Yeah Yeahs, Parution en 2009 |
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Avec ce « It’s blitz ! », les Yeah Yeah Yeahs ne sortent finalement que leur troisième album studio et ce malgré une aventure débutée au tout début des années 2000. Une activité minimale ou presque donc, surtout pour ce genre de rock plutôt basique et sans trop de fioritures. Ils sont passés en l’espace d’une décennie d’une musique garage dégingandée mais toujours traumatisée par un aspect pop ...
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Les années passent et les albums des Yeah Yeah Yeahs deviennent de plus en plus mauvais. Après le mitigé Show Your Bones en 2006 et l'insipide EP Is Is l'année suivante, la cuvée 2009 voit le groupe toucher le fond : le trio new-yorkais désireux de suivre l'air du temps se lance avec It's Blitz dans une électro plate et sans surprise, calibrée pour les radios généralistes. It's Blitz ! donc... où l'histoire d'un disque au titre antinomique à son contenu dans lequel Yeah Yeah Yeahs abandonnent leurs instruments d'origine pour n'utiliser que claviers et autres batteries synthétiques ...
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Les Yeah Yeah Yeahs créent la polémique depuis quelques temps : encore un groupe qui abandonne les guitares au profit des sonorités électroniques ! Mais qu’est-ce qu’ils ont tous en ce moment ? Surtout que le groupe de Karen O était réputé pour sa musique rock’n’rolliene à souhait. Personnellement, je me fous un peu de ce débat puisque « Fever to Tell » et encore plus « Show your Bones » m’avaient laissé on ne peut plus indifférent, immédiatement rangés dans la catégorie « Pas mal mais qui n’apporte vraiment rien » ...
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Au départ, ça commence fichtrement bien : tel un gang bang sonore, on croise Debbie Harry qui léchouille Joan Jett pendant que les musicos de Blondie s’agitent dans le fond. Dans une urgence sexy, la mie Karen O s’affranchit de tout préliminaire et balance direct ses meilleurs tracks, un « Zero » aussi pétillant qu’un Coca-Cola et un « Heads will roll » à en perdre la tête. Après ça se gâte un peu ...
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