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04
05
2008

Funny Games U.S. - Michael Haneke

7 chroniques recensées

Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
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Funny Games U.S.,
De

Avec N. Watts, T. Roth, M. Pitt
Sortie en salle le 23 Avril 2008
Funny Games U.S. - Michael Haneke
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Synopsis : En vacances dans leur maison de campagne, George et Anna reçoivent la visite impromptu d'un ami des voisins venu leur demander des oeufs. Le jeune a un comportement étrange et ne semble plus vouloir quitter la propriété. Rapidement la situation va dégénerer.
Critique : En 1997, le réalisateur Michael Haneke choquait la croisette avec son nouveau film en compétition au festival de Cannes. Une histoire extremment dure sensée mobiliser l'opinion sur la montée de la violence. Le message qui s'adressait avant tout aux américains n'etait pas correctement passé car le film etait en Allemand ...

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En 1997, Michael Haneke divise et choque profondément les festivaliers cannois où son Funny Games est présenté en compétition. Le cinéaste autrichien, déjà réputé pour la méticulosité de son style et sa réflexion sans concession à propos de la violence, avait précédemment réalisé Le Septième continent (1989), 71 Fragments d'une chronologie du hasard (1994) et Benny's video (1992). Funny Games représentait en quelque sorte l'aboutissement de ce travail de fond sur la représentation de la violence par les médias ...

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Funny games, le film originel a déjà 10 ans! Je l’ai déjà dis il y a fort longtemps : c’est le film de Michael Haneke qui m’a le plus intéressé. Plus, en tout cas, que ses films plus estimés par la critique que je trouve pourtant bien balourds (Benny’s video, 71 fragments d’une chronologie du hasard…) Dans quasiment tous ses films (j’excepte Caché que j’ai beaucoup aimé), il y a chez le cinéaste une volonté un peu trop évidente de « faire sens » et de se désoler de l’état déplorable dans lequel se sont affaissées nos sociétés contemporaines. Ses constats ne sont pas forcément faux mais on peut rechigner devant ses mines de prof sévère venant nous donner des leçons ...

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Certains réalisateurs ont tourné deux fois le même film, le plus célèbre étant "L'Homme qui en savait trop" ; mais à l'exacte différence de Haneke, la motivation d'Alfred Hitchcock en 1956 était bien d'actualiser son film d'avant-guerre, et très nombreuses étaient les différences entre les deux versions. Plus récemment, Gus Van Sant a réalisé le remake plan par plan de "Psychose", mais en le tournant en couleur. La démarche de Michael Haneke est toute autre : il a retourné exactement le même film ...

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Décidément, les cinéastes en veulent aux luxueuses résidences aseptisés ! Après La Zona de Rodrigo Pla, voici Michael Haneke qui fait le remake d'un de ses propres films (je n'ai pas vu le Funny Games version autrichienne, de 1997, et n'ai donc pas cette sensation de doublon) et plante le décor d'une maison huppée fermée qui va devenir le théâtre du plus sadique des jeux. Là où doit régner ordre, beauté, luxe, calme et volupté, on va être piégé, traqué, maltraité, tué ...

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Parce que la violence exerce une sorte de fascination-répulsion chez lui, Haneke tourne en 1997 Funny Games en réaction à la débauche et à la gratuité d’une certaine barbarie décontractée venant du cinéma américain. Cette stigmatisation du Mal par le Mal ébranle la Croisette et fait de l’Autrichien le cinéaste des maux véhéments, de l’inconfort mental en proie directe avec ses thèmes de prédilection : barbarie banalisée, irruption des forces malveillantes. Réaliser le remake de son propre film afin de toucher le public initialement escompté témoigne de son jusqu’au-boutisme absolu et indissociable de son œuvre ...

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Un trou noir, une chute. Aucun signe positif tout au long du parcours vers la violence la plus abjecte. Le remake de son propre film accompli, Haneke peut désormais se complaire à dénoncer la violence esthétisée du cinéma américain en particulier, mais aussi de tout cinéma qui « banalise » la violence… Derrière ce fondement moral, Haneke choisit une forme amorale : la torture jouissive, abusive, inutile, sans motifs. Il ne faut pas chercher un signe d’espoir dans cette dénonciation directe et sans compromis ...

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Note : 2.6/5 (9 notes)


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