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13
05
2007

Flandres - Bruno Dumont

6 chroniques recensées

Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
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Flandres, 
Bruno Dumont,

Avec S. Boidin, A. Leroux, H. Cretel

Sortie en salle le 30 août 2006
Disponible en DVD

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Le premier film de Bruno Dumont, la vie de Jésus, m’avait enthousiasmé. Ce coup d’éclat âpre et douloureux marquait la naissance d’un authentique cinéaste. Ses deux films suivants ont confirmé la singularité de son regard d’auteur et la maîtrise éblouissante de ses mises en scène. Pourtant, aussi impressionnants que furent l’humanité et Twentynine palms, je fus moins convaincu et décelai chez Dumont un « Syndrome Dupont ». Vous connaissez sans doute mieux que moi les deux policiers d’Hergé qui restent immuables et conservent le même accoutrement quel que soit le paysage qu’ils traversent (le désert, la forêt tropicale ou les soirées mondaines…). De la même manière, je décelais chez Dumont quelqu’un ayant trouvé un style et se contentant désormais de l’appliquer de manière un peu dogmatique ...

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On connaît le cinéma de Bruno Dumont : une réalisation épurée, avec beaucoup de plans fixes, une alternance de plans serrés et de plans très larges, l'usage systématique du champ-contrechamp en-dehors des dialogues ; le recours à des acteurs débutants, le refus de toute ornementation (il n'y a pas de musique) ; des personnages monolithiques, avec des dialogues limités à des phrases de trois mots, si possibles monosyllabiques ; une crudité dans la façon de filmer le sexe. Et pour la troisième fois en quatre films, le Nord comme cadre, un pays de terre glaiseuse où l'autochtone se déplace en 205 GL ...

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Alors que dire de Flandres, eh bien c'est dur, je le savais bien mais quand même les aspects psychologiques, visuels (notament les scènes de guerre qui se déroule en Tunisie mais qui seraient transposables un peu partout) et la vie surotut la vie là-bas aux alentours de la frontière entre la France et la Belgique, sûrement dans ce no man's land fais de brumes, d'humidité, de vert et de boue et d'une vie qui fais relativiser... On ne peut presque pas être malheureux ici en voyant ce qui se passe dans ces contrées si proches et si lointaines des décallages existent, on le sait mais parfois on ne veut pas les voir; là il n'est question ni d'Internet, ni de blog ni des bobos de la chanson de Renaud ...

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Bruno Dumont est un cinéaste rude, austère, qui fixe les yeux dans les yeux les fonds insondables de l'humanité, sujet dont il fit le titre de son avant-dernier film, dont "Flandres" prend la suite.

Cette fois, plus d'inspecteur excentrique (nommé 'Pharaon'), témoin décalé des monstruosités du quotidien dans le Nord (dans l'Humanité). Ou peut-être s'est-il glissé derrière la caméra, si tant est qu'il l'est jamais quittée. En effet à entendre Dumont expliquer qu'il ne réfléchit pas au sens de ses films, des scènes même, et qu'il laisse les spectateurs s'en charger, on ne peut conclure que, soit il raconte des histoires (n'est-ce pas son métier?), soit il se situe sur la même lune que ce personnage impassible ...

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Bon ,ce qui precede resume assez mal l'histoire, et surtout l'ambiance.Noir, c'est noir. Comme ces premiere images, et la boue qui colle aux bottes, cette cour de ferme peut reluisante. Les deux personnages principaux Demester ( Samuel Boidin ), et Barbe ( Adélaïde Leroux ) relation frustre et limite animale, à l'image de ces coits sans passions, juste un besoin à satisfaire. La suite, le depart pour une contrée non précisée et la guerre, chacun y verra ce qu'il veut ...

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Demester. Singulier prénom. Consonance guerrière. Imposant jeune homme au regard étrangement vide. Solitude du Paysan. Quotidien morne d’un propriétaire terrien. Près de lui, des vaches, un tracteur et une amie d’enfance, Barbe. Fidélité ambiguë, jeune Marie-couche-toi-là provinciale. Il l’aime éperdument, discrètement, l’observe souvent en fronçant les sourcils ...

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Note : 3.1/5 (10 notes)


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