Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Critiques Clunysiennes, Laterna Magica, Psykokwak
El Camino de San Diego, De Carlos Sorin Avec I. Benitez, C. Wagner La Bella, P. Rotela Sortie en salle le 13 juin 2007 Sortie en DVD le 24 octobre 2008 |
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Une cahute de bûcherons dans la forêt subtropicale. Un homme enfile son maillot albiceleste frappé du n°10, et part avec sa tronçonneuse sur l'épaule. Un insecte trace difficilement sa route dans la sciure, tandis qu'un arbre s'abat. Des témoins s'adressent alors à la caméra pour parler de Tati Benitez, et raconter que tout le monde l'appelle Diego, qu'il est incollable sur le pibe de oro dont il s'est fait tatouer le numéro dans le dos. D'autres rapportent qu'il a acheté 50 pesos une photo dédicacée, puis l'on voit le procès en authenticité de la relique ...
Tati est comme des millions d’argentins, il voue un culte au légendaire footballeur Diego Armando Maradona. Il vit dans des conditions précaires, avec son épouse et ses trois enfants, au milieu de la forêt de Misiones. Alors que le grand Diego est hospitalisé d’urgence à l’hôpital de Buenos Aires, Tati découvre une racine qui, pour lui, prend la forme et les traits du jeune Diego. L’Argentine entière se recueille pour le rétablissement de son idole. Tati décide lui de traverser tout le pays pour offrir à Maradona la statue de bois à son effigie… On imagine mal ici la ferveur populaire qu’engendre le football en Amérique du sud et, en particulier, en Argentine. En France, la passion autour du foot est souvent raisonnable ...
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Je poursuis mon parcours cinématographique latino américain avec El camino de San Diego. Changement de ton. Un bucheron sympathique et un peu frustre voue une adoration à l’idole footbalistique argentine Diego Maradona. Tati Benitez connaît jusqu’au nom des témoins au mariage de la star. Dans son dos est tatoué un immense « 10 » le numéro fétiche du footballeur. Pourtant il vit au fin fond de l’Argentine dans des conditions déplorables ...
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