Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Le Golb, Playlist Society, Géraldine
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Il est aisé de se moquer de Beigbeder, et pas grand monde ne s’en prive. Faut-il cogner à loisir sur un type prêtant si volontairement et si complaisamment le flanc à la critique ? Vaste débat. Je me suis souvent abstenu de le faire, essayant de dégager un point de vue à peu près nuancé – ce qui n’a rien d’évident en face d'un auteur déchaînant tellement les passions. Et puis d’autres fois ai-je cédé à une tentation irrésistible, car il est bien sûr éminemment comique que le grand pope (c’est le cas de le dire ) autoproclamé de la critique littéraire french touch soit parallèlement un écrivain si décevant (...)
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Lors de mon adolescence (comprendre une période passée mais qui du haut de mes 27 ans n'est pas toujours totalement révolue), je ne cache pas avoir porté une certaine affection pour les romans de Frédéric Beigbeder. Ses théories sur tout et n'importe quoi, son style en mode zapping (« Vacances dans le coma », ses grandes théories (« L'amour dure trois ans »), ses jokes un peu rebelles, ses punch lines à tout va (« 99 Francs »), et surtout une certaine connivence culturelle (à l'époque je trouvais génial qu'un auteur parle d'un groupe de musique que j'aimais dans ses bouquins) me faisaient régulièrement sourire (...)
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Houlala, je sens que faute de faire couler l'encre, un billet sur roman de Beigbder va faire cliqueter les claviers... Le livre commence par une préface de Marin de Viry, de la revue des deux mondes. Selon cette préface, en résumé, Frédéric Beigbeder serait conscient d'être ce qu'il est et de ne pas être ce qu'il n'est pas. Préface bidon, provoc ou pour clouer le bec aux détracteurs, je l'ignore. (...)
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