Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Rob Gordon, Xav-B.log, Nicolinux, Boustoune, Dasola, Septième Art - Gérard Rocher, EightDayzaWeek
Volt, star malgré lui, De Chris Williams & Byron Howard Animation Sortie en salle le 4 Février 2009 |
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Après le clebs de Belmondo et en attendant le Marley d'Owen Wilson et le déjà culte chihuahua de Beverly Hills (ainsi que les prochains Bourdon et Dupeyron), c'est au tour du toutou de chez Disney de béraquer sur les écrans. Curieusement rebaptisé Volt en VF, Bolt est au départ un personnage moins plat que ne le laisse penser sa frimousse de héros pour bambins. Volt, star malgré lui démarre en fait de façon assez intéressante, faisant de ce chien une sorte de nouveau Truman Burbank, héros malgré lui de ce qu'il croit être la vie normale mais qui n'est qu'une fiction orchestrée par des producteurs cyniques et avides de fric ...
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Roulement de tambour, Disney est enfin de retour ! Le studio d'animation mis a mal depuis pres d'une dizaine d'année a eu du mal a faire face a la concurrence des Pixar ou autres Dreamworks. La machine a bonne idée semblait avoir pas mal de raté et l'epoque des grands classiques semblaient s'eloigner de plus en plus. Volt redresse enfin la barre avec un film en image de synthese enfin réussi. Cette nouvelle réussite est du a un seul homme, un heros du nom de John Lasseter. Le réalisateur de Toy Story et Cars est devenu depuis trois ans le directeur artistique de Disney suite au rachat de Pixar par la maison de Mickey. Alors qu'on sentait son influence sur Bienvenue Chez Les Robinson elle est ici flagrante puisque il est cette fois ci producteur executif du projet ...
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La semaine dernière, j’étais seul avec ma petite sœur et nous sommes allés voir ensemble le dernier Disney en date, Volt star malgré lui. Je ne suis pas particulièrement fan des Disney récents, en tour cas ceux sans Pixar. Mais là, je dois dire que j’ai été convaincu. Bon, par contre, réglons ce problème immédiatement : nous avons eu la mauvaise idée de le voir en 3D. Déjà, je n’ai jamais été un grand fan de la 3D à base de grosses lunettes sales, il est vrai en grande partie à cause de celles de vue. Mais maintenant que j’en porte plus, le problème reste : ces lunettes sont toujours aussi inconfortables et surtout, floues ...
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Quand on va voir un film dont le héros se nomme Volt, on s’attend forcément à voir des étincelles et à plonger dans une atmosphère électrique. On est servis dès la première séquence, un magnifique hommage aux films de science-fiction et d’espionnage high-tech : un groupe de malfrats désireux de dominer le monde (comme c’est original !) à enlevé un savant renommé et cherche à lui extirper ses secrets. Comme il refuse de parler, les truands décident de kidnapper sa fille pour avoir un moyen de pression, une monnaie d’échange. Mais celle-ci est protégée par son chien, le fameux Volt, à qui le savant a apporté quelques améliorations cybernétiques, comme arrêter un véhicule à coup de tête, lancer des rayons lasers avec ses yeux ou transformer un aboiement en onde de choc ...
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Après Po (Kung Fu Panda) qui m'a fait craquer, voici Volt (Bolt en VO), le super-chien héros de série qui sauve régulièrement sa maîtresse, la petite Penny. Cette dernière production est une réussite du point scénaristique et animation. J'ai vu le film en VO: il n'y avait que des adultes dans la salle. Ce Volt, petit chien blanc de race indéfinie, est vraiment irrésistible. Tout commence en Californie, dans les studios hollywoodiens. Personnellement, je n'ai pas compris tout de suite que Volt est le héros d'une série policière télévisée. Dans celle-ci, il possède de supers pouvoirs. C'est pratiquement le chien "bionique" ...
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C'est vrai qu'en sortant d'un univers artificiel qui peut être synonyme de gloire, la chute est terrible lorsque le piédestal se brise, que les néons s'éteignent et que disparaissent les ovations de la foule. C'est un peu le problème de notre ami Volt sauf que lui, il ne se rend pas compte que l'habit dont il était affublé dans les studios n'était qu'un costume d'illusions. Le petit chien est alors comme les autres animaux errants à la merci de la solitude et du désespoir. A qui la faute? A la télévision et ses séries Z qui contaminent un public dépendant des éternels épisodes tous semblables et fabriquent des "stars" que l'on jette lorsque le seuil de rentabilité du feuilleton s'avère atteint ...
Dans sa chronique lors de la sortie ciné, Vincent Avenel de Critikat.com pointait* que Volt était "un peu le croisement entre The Truman Show et Les Indestructibles – les recettes qui ont fait le charme de ce dernier film étant d’ailleurs pleinement utilisées. Ton cartoonesque, univers visuel stylisé très proche du film de Brad Bird… Mais n’est pas Pixar qui veut ...