Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Le Bamboo Club, Culturopoing, Rob Gordon, Critiques clunysiennes, Boustoune, les irréductibles, Asiaphilie, Dasola, Cahier Critique, Cinéfeed
Departures, De Yojiro Takita Avec M. Motoki, T. Yamazaki, R. Hirosue Sortie le 3 Juin 2009 |
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L’histoire de ce jeune musicien officiant à présent aux pompes funèbres est, de prime abord plutôt inattendue et originale. Dès lors que l’on avance dans l’intrigue, le récit relaté apparaît alors somme toute classique. Le film reprend par le biais d’un microcosme japonais des thèmes humains essentiels et universels. En traitant ce sujet, Yojiro Takita ne cherche pas du reste à éviter les clichés ...
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Des instants magiques, où les gestes se font précis pour accompagner l’âme des morts jusqu’à leur dernière demeure, et un acteur caméléon, Masahiro Motoki (Daigo), qui passe du comique au tragique, et se glisse avec crédibilité dans la peau d’un professionnel de la thanatologie. Oscar du meilleur film étranger, "Departures" confronte le spectateur à l’intimité souvent dérangeante de son rapport à la mort. Sans compassion excessive et avec une certaine dose d’humour, il réussit à nous toucher ...
Lire la suite de la chronique chez Culturopoing.
2009, année du cinéma japonais ? Après les très recommandables Tokyo sonata et Still walking, voilà que sort Departures, auréolé d'un Oscar du film étranger ravi au nez et à la barbe de (notamment) Valse avec Bachir et Entre les murs. C'est peu de dire que la prestigieuse Academy a encore une fois marché sur la tête en couronnant ce drame ennuyeux et grossier, qui use et abuse de toutes les ficelles du mélodrame sans jamais se montrer convaincant ...
Lire la suite de la chronique chez Rob Gordon.
Lauréat surprise du dernier Oscar du meilleur film étranger au nez et à la barbe des favoris "Entre les Murs" et "Valse avec Bachir", "Departures" manifeste une nouvelle fois la vitalité du cinéma japonais. On peut comprendre ce qui a attiré les membres de l'Academy, à la fois dans l'aspect positif (l'indéniable originalité du sujet, la diversité de tonalité) et dans l'aspect plus discutable (la larmoyance de certaines scènes, le recours aux grosses ficelles de l'émotion) ...
Lire la suite de la chronique chez Critiques clunysiennes.
Le film de Yojiro Takita, comme son titre l’indique, parle de «départs». Déjà, le nouveau départ du personnage principal, Daigo Kobayashi… Le jeune homme venait juste de réaliser son rêve, devenir violoncelliste professionnel, quand l’orchestre dans lequel il avait été engagé a été dissout. Un peu déboussolé, il décide de retourner s’installer dans le village de son enfance, loin des grandes villes ...
Lire la suite de la chronique chez Boustoune.
Cela se regarde facilement, cela s’oubliera tout aussi aisément. Et pourtant couronné aux oscars, Meilleur Film en langue étrangère , inondé d’une flopée d’autres prix notamment et surtout en son propre pays. Ce film qui aborde sur un ton léger, celui de la comédie, un sujet plus sombre la mort, le décès et la préparation des corps avant la mise en bière prélude à l’incinération ...
Lire la suite de la chronique chez Les Irréductibles.
Je crois que c'est bon, vous avez compris que j'ai aimé ce film, que j'ai aimé sa musique, que j'en ai aimé le thème, la douceur, la pudeur, la tristesse, la candeur, la témérité. j'ai encore besoin de développé ? Maudits critiques ! Departures, c'est le titre anglais d'un film japonais que les diffuseurs ont eu la flemme de faire traduire. D'un coté tant mieux, ça aurait pu être horrible ...
Lire la suite de la chronique chez Asiaphilie.
Après Still walking, je chronique un deuxième film japonais. Departures vient de recevoir l'Oscar du meilleur film étranger cette année (Entre les murs et Valse avec Bachir étaient aussi en compétition). Il paraît que, sans cette récompense, il ne serait jamais sorti en Europe (dont la France), et cela aurait été dommage ...
Lire la suite de la chronique chez Dasola.
En France, à partir du même postulat (un jeune bleu qui débarque malgré lui dans le monde des pompes funèbres), on en arrive à Bouquet final, comédie pas très finaude avec Didier Bourdon. En terre nippone, immédiatement, l’histoire est tout autre alors qu’au fond, elle demeure identique. Daigo, violoncelliste dont l’orchestre tokyoïte a été dissous, retourne dans la petite ville de son enfance. Là bas, sur un malentendu, il est engagé ...
Lire la suite de la chronique du Cahier Critique.
Lecteur , je vais exciter ta curiosité en te comptant un chef d'oeuvre peu connu du grand public, DEPARTURES qui a obtenu l'Oscar du meilleur film étranger. Film dérangeant car morbide et notre société, qui glorifie la jeunesse, n'est pas vraiment prête à côtoyer la mort bien que les films regorgent de tueries à grand spectacle ...
Lire la suite de la chronique de Cinéfeed.