Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Rob Gordon, Boustoune, Laterna Magica, Culturopoing, Lieux Communs
The Pleasure of Being Robbed, De Joshua Safdie Avec E. Hendricks, J. Safdie, W. Chin Sortie en salle le 29 Avril 2009 |
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Présenté à la Quinzaine des réalisateurs il y a de cela un an, The pleasure of being robbed avait été accueilli comme un bon bol d'air pur entre deux films plombants. Et c'est exactement cela : une bal(l)ade en apesanteur, un petit moment hors du temps créant une atmosphère avec trois francs six sous. Tel est le désir de Joshua Safdie : faire du petit budget un sacerdoce et se servir de ce dénuement pour favoriser l'émulsion artistique ...
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Ne croyez pas le titre du premier long-métrage de Joshua Safdie, The pleasure of being robbed (« Le plaisir d’être volé », en français). Si ce film est effectivement un vol – celui de l’argent et du temps, précieux, du cinéphile qui aurait pu aller voir autre chose à la place de cet objet filmique insignifiant - il n’est en aucun cas un plaisir … Le cinéaste et son actrice principale Eleonore Hendricks ont tourné sans scénario, dans les rues de New-York, les déambulations d’une kleptomane qui, par pure curiosité, vole tout et n’importe quoi – surtout n’importe quoi, d’ailleurs… - du simple sac à main jusqu’à une voiture… Mais, l’intérêt, ce sont les rencontres qu’elle fait lors de ses menus larcins ...
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Josh Safdie et Eleonore Hendricks sont à la fois auteurs et acteurs principaux du film. Une certaine complicité les lie vraisemblablement et elle expliquerait très probablement l’existence de ce film. Car il est difficile de comprendre l’intérêt de ce curieux objet. The Pleasure of being robbed est un film libre mais qui ne raconte rien ...
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On voit bien l’idée et la filiation au long cours. La Eleonore de The Pleasure of Being Robbed pourrait tout à fait être la petite-fille de la Wanda de Barbara Loden, la fille des anti-héros/héroïnes de Bette Gordon, Amos Poe, Eric Mitchell, Sara Driver ou Jim Jarmusch (celui de Permanent Vacation), la petite sœur des filles/femmes perdues d’Amos Kollek ...
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Une heure dix. Soixante-dix minutes. Et pourtant... Pour faire simple, c'est le spectateur qui a le sentiment de being robbed. De ne pas en avoir pour ses sous. J'aurais du me méfier. La critique faisait référence au Jarmusch de Permanent vacation. pour sa liberté de ton. Et je n'aime pas permanent vacation. Où j'avais déjà eu le même sentiment de un peu foutage de gueule ...
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