Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
CinemaniaC, Asiaphilie, Laterna Magica, Through my eyes, Critiques clunysiennes, Les irréductibles, Rob Gordon, Psykokwak, Neil, BMR & MAM, Dasola
Lust Caution, D'Ang Lee Avec T. Leung Chiu Wai, T. Wei, J. Chen Sortie le 16 janvier 2008 |
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Dans le salon d’une maison bourgeoise du quartier résidentiel anglophone de Nanjing road, quatre ravissantes dames, chics et sophistiquées, font une partie de Mah-jong. L’une d’elle, Madame Mak, prétexte soudain une course urgente et quitte brusquement le jeu. Elle gagne fébrilement un café à la limite du quartier populaire chinois et téléphone à un homme où l’on comprend qu’elle donne le top départ d’une opération commando. En 1942, une grande partie de la Chine est envahie par le Japon ...
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937. Wong Chia-Chi est une jeune étudiante de 18 ans. Elle se lance avec une amie dans le théatre, à moitié par amour du jeu, à moitié pour séduire le jeune homme qui les a invité à l’audition. Très vite, elle se rapproche de lui et de son groupe de résistants patriotes, affiliés spirituellement au Guomindang. Lassé de ne faire que jouer des pièces patriotiques pour aider leur pays, les jeunes gens, exaltés, décident de passer à l’action et de tuer un fonctionnaire chinois collaborant avec l’occupant japonais. Il s’agit de M. Yee, un séduisant quarantenaire encore un peu naïf, certain de servir son pays en aidant les japonais ...
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Récompensé par un Lion d'or à Venise, Lust, Caution incarne l'incroyable surestimation dont fait l'objet le cinéaste taïwannais Ang Lee. De retour en Chine - ou il n'avait plus tourné depuis Tigre et dragon - Ang Lee adapte une nouvelle d'Eileen Chang pour une grande fresque érotico-politique qui, malheureusement, rappelle trop l'extraordinaire Black Book de Paul Verhoeven, pour que l'on s'extasie ici. Soyons clair quand même, Lust, Caution est un excellent film, et une oeuvre audacieuse qui plus est ...
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Tandis que l’Europe est à feu et à sang, sous le joug de l’occupation nazi, le Japon occupe une vaste partie de la Chine, et met rapidement en place, comme ce fut le cas à Vichy, un gouvernement de collaboration. A la tête de ses services secrets, Monsieur yee, pratiquant torture et exécutions sur les opposants. Cible principale des autres services de renseignements et des résistants, il vit entouré d’une armada de soldats, observant les règles de sécurité les plus strictes ...
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Difficile de parler de "Lust, Caution" sans faire référence à la scène finale, ou plutôt à la seconde qui déclenche en cascade toute la fin du film, et qui donne sa perspective à l'histoire. Car si de chassés-croisés en faux rendez-vous, de manoeuvres d'approche en esquives, on sait que la rencontre entre la jeune étudiante idéaliste et le tortionnaire qu'elle doit attirer dans un piège mortel ...
Encore une fois, après « Le secret de Brokeback Mountain », maintenant « Lust Caution », et deux fois la même sensation. Si j’adhère au scénario, quelque chose dans la réalisation me retient, gâche une partie du plaisir. Impression étrange d’avoir tous les ingrédients nécessaires, mais…Quoi alors ? Cette « griffe Hollywood »et sa pointe d’excès, des décors trop appliqués, trop nets, trop de moyens tue l’effet recherché ! Et comme pour Brokeback Mountain , le sentiment qu’il réside ici ou là, un anachronisme, rien de flagrant non juste un ressenti, comme si les sentiments ne collaient pas à l’époque pressentie ou vice-versa ...
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Malgré l'émerveillement des bien-pensants et un Lion d'Or à Venise, il faut clamer haut et fort ce qu'il advient de Lust, caution : on tient là le moins bon film d'Ang Lee, et de loin, tant ce cinéaste imprévisible mais souvent convaincant semble ici à côté de ses pompes. Il n'y a à peu près rien à sauver de ce naufrage de 2h38 qui semble avoir été pondu par un étudiant en cinéma. Tout est sursignifiant, clicheteux, en toc. Rien ne touche, rien ne fascine, et seul l'ennui s'impose, tel une terrible chape de plomb ...
Lire la suite de la chronique chez Rob Gordon.
Auréolé du Lion d’or de la Mostra de Venise 2007, et deux ans après Brokeback Mountain (également couronné), Ang Lee démontre à nouveau tout son savoir faire avec Lust, Caution. C’est une plongée dans la Chine durant la 2nde Guerre mondiale, entre Hong Kong et Shanghai occupée par les Japonais. Un groupe d’étudiants idéalistes révolutionnaires projette d’assassiner M Yee, membre du gouvernement fantoche et collabo de Wang JingWei, en poste à Hong Kong. Á l’époque ces étudiants s’y étaient réfugiés fuyant l’occupation nippone. Ils pensaient plutôt au théâtre tout en étant animés de sentiments patriotiques. Wang Jiazhi, une des actrices parvenait à s’immiscer dans le cercle de grands bourgeois entourant M Yee alors soupçonné d’être un espion à la solde des occupants ...
Lire la suite de la chronique chez Psykokwak.
Retour aux sources pour Ang Lee : le réalisateur taiwanais n’était pas revenu tourner en Asie depuis Tigres et dragon en 2000. Avec Lust, caution (dont je vous passerai la traduction française), Ang Lee réalise l’adaptation d’une nouvelle de Eileen Chang ; Encore une adaptation, comme Le secret de Brokeback Mountain, lui aussi couronné du lion d’or à Venise, tout comme Lust, caution. C’est d’ailleurs à peu près tout ce qui lie les deux films, tous deux pourtant faisant la part belle à une histoire d’amour ...
Lire la suite de la chronique chez Neil.
Si ce n'est pas déjà fait, courez vite voir le dernier film d'Ang Lee (Tigre et dragon, Le secret de Brokeback moutain, ...) avant qu'il ne quitte l'affiche : Lust, Caution. Une traduction difficile des deux idéogrammes chinois 戒 jiè 色 sè : être prudent, sur ses gardes ou même donner l'alarme pour le premier, plaisir, amour de la beauté ou encore expression du visage pour le second. Deux clés de lecture du film. C'est le titre en VO du bouquin d'Eileen Chang dont est tiré le scénario. Eileen Chang (ou Zhang Ailing en VO) dont, heureux hasard, on vient de lire Un amour dévastateur (on en parlera demain) ...
Lire la suite de la chronique chez BMR & MAM.
2h30 de belles images grâce à une reconstitution impeccable de la Chine des années 40. J'ai entendu parler en bien de Lust, Caution d'Ang Lee, Lion d'Or à Venise 2007, c'est pourquoi je me suis décidée à aller le voir. J'ai aimé, sauf la fin que j'ai trouvée décevante. Je me suis dit "tout ça pour ça": cela finit un peu en queue de poisson. Et l'histoire avec sa chronologie un peu confuse n'est pas forcément limpide. Je n'ai pas compris le rôle exact de tous les protagonistes. Il y a des scènes de sexe bien filmées et jolies à regarder ...
Lire la suite de la chronique chez Dasola.