Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Xav-B.Log, Une toile pour deux, Through my eyes, Sirensorrento, Rob Gordon, Playlist Society, Mickael, Matière focale, Le bal des vauriens, Laterna Magica, Goin' to the movies, Devotionall, Culturopoing, Critiques clunysiennes, Cahier critique, Blog Culturel, Acide Critique
Soyez sympas, rembobinez, De Michel Gondry Avec J. Black, Mos Def, D. Glover Sortie en salle le 5 Mars 2008 |
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Synopsis : Le vidéo club Be Kind, Rewind n'arrive plus a faire face à la concurrence et risque de fermer car l'immeuble devient insalubre. Lorsque Jerry, magnetisé suite au sabotage raté d'une centrale, entre dans la petite boutique il efface toutes les VHS. Jerry & Mike n'ont plus qu'une seule solution pour éviter la catastrophe, retournez les films eux mêmes.
Critique : Aprés un retour en France pour La Science Des Reves le réalisateur Michel Gondry est retourné aux Etats Unis pour son quatrième long métrage. Un hommage au cinéma, qui ne pouvait etre réalisé que la bas, qui devrait séduire les fans du réalisateur et lui permettre de toucher un nouveau public. Tout comme celle de La Science Des Rêves, l'histoire de Soyez Sympas, Rembobinez semble contenir une nouvelle fois enormement d'anecdoctes biographiques de son réalisateur et scénariste Michel Gondry ...
Critique : Aprés un retour en France pour La Science Des Reves le réalisateur Michel Gondry est retourné aux Etats Unis pour son quatrième long métrage. Un hommage au cinéma, qui ne pouvait etre réalisé que la bas, qui devrait séduire les fans du réalisateur et lui permettre de toucher un nouveau public. Tout comme celle de La Science Des Rêves, l'histoire de Soyez Sympas, Rembobinez semble contenir une nouvelle fois enormement d'anecdoctes biographiques de son réalisateur et scénariste Michel Gondry ...
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Michel Gondry a ressorti sa machine à idées folles pour nous pondre son dernier film. C'est ainsi qu'une fois devenu magnétique suite à une décharge électrique, un mec comme on n'en rencontre pas tous les jours efface par mégarde toutes les vieilles VHS (si si, ça existe encore) du magasin de location son ami. Enfin, du père adoptif de son ami. Celui-ci étant absent, nos deux compères décident de réenregistrer les vidéos à leur sauce, en commençant par un film culte des années 1980 : Ghostbusters ...
Mr Fletcher (Danny Glover, L’arme Fatale, Dream Girl) tient un vidéoclub vétuste dont l’histoire fait la fierté de son propriétaire puisque le célèbre jazzman, Fats Weller, y serait né. Mike (Mos Def, 16 blocks) y est employé et son pote Jerry (Jack Black, High Fidelity, The Holiday, King Kong) y “traine”… D’un seul coup tout dérape, le proprio s’absente et Jerry devient accidentellement électromagnétique ...
Lire la suite de la chronique de Through my eyes.
Le résumé de l’intrigue m’avait conquis, les critiques étaient bonnes et pourtant je trouve ce film…un peu raté. J’avais adoré Eternal Sunshine of the spotless mind et détesté La Science des Rêves, ce film se situe entre les deux, ni excellent, ni mauvais, il manque seulement sa cible. L’idée est séduisante mais mal exploitée. Le film met du temps à démarrer, il y a au moins une vingtaine de minutes au début pour poser l’intrigue, et qui apportent au final très peu à l’histoire ...
Lire la suite de la chronique de Sirensorrento.
Soyez sympas, oubliez le titre français, sélectionné par une bande d'internautes sans scrupules ni sens du bon goût. Et ne retenez que ces quatre-vingt quatorze minutes venues d'ailleurs, c'est-à-dire de chez Michel Gondry, réalisateur franco-bricolo alliant fraîcheur et modestie, comme s'il ignorait qu'il constituait le top de la hype ...
Lire la suite de la chronique de Rob Gordon.
Suite à une mutation inexplicable, Jack Black est devenu magnétique et efface malencontreusement l’intégral des bandes des K7 du vidéo club où est employé son pote Mos Def. Rien de grave si ce n’est que Danny Glover, le parton du vidéo club avait placé en l’ami Mos toute sa confiance, et que comme tout grand film populo, le vieux patron du vidéo club de quartier subit des pressions de personnes qui verraient bien les traits contemporains d’un immeuble moderne remplacer dans le paysage les lignes boiteuses de la veille bâtisse ...
Lire la suite de la chronique de Playlist Society.
Le Gondry nouveau est arrivé. Le Français (américain), après avoir proposé un film personnel et poétique, La Science des Rêves, revient avec un pitch tout à fait séduisant (voir ci-dessus). Déjà une bonne chose. L’attente est-elle sagement récompensée par le film ? Pour une fois, oui. Mené avec audace, choix esthétiques intéressants, rythme maîtrisé, et dialogues potaches, Be Kind Rewind, sans prétentions, se révèle être une très belle composition tendre et toujours décalée ...
Lire la suite de la chronique de Mickael.
Oh! Michel Gondry! SOYEY SYMPAS REMBOBINEZ, qu'on appellera ici sous son de V.O dans Calcutta déserte, à savoir BE KIND REWIND pour des raisons de commodités, est un film qui, comme dirait mon patron adoré, à quand même une superbe brioche. [Définition de la brioche: ici.] Le pauvre Mos Def travaille dans un petit vidéoclub de rien du tout, géré par Danny Glover. On y trouve, ô bonheur, que des cassettes VHS! ET aussi des glaces au chocolat ...
Lire la suite de la chronique de Matière focale.
Y a-t-il aujourd'hui format d'enregistrement plus méprisé que la cassette, vidéo ou audio ? Non, les vinyles s'achètent à prix d'or sur ebay, on parle de dématérialisation, mais les cassettes, rien, oublié malgré tous les services rendus. L'époque des compils artisanales, des piles de vhs ou on savait même plus ce qu'il y avait dessus, personne ne nous saoulait avec le piratage. Michel Gondry en tant qu'ancien de la scène indé 80's ne peut qu'avoir de la sympathie pour ces temps reculés. Aussi, son troisième long métrage semble comme un hommage à la cassette ...
Lire la suite de la chronique chez Le bal des vauriens.
On a beaucoup parlé de Michel Gondry sur ces pages et Soyez sympas, rembobinez était un film que nous attendions plus que tous les autres. Ca n'a en rien gâché le plaisir ressentit devant ce film assez miraculeux et qui ne pouvait guère que sortir de l'imagination débridée de Michel Gondry. Soyez sympas rembobinez, plus qu'un chant d'amour au cinéma, et un vibrant hommage aux créateurs en tous genres ...
Lire la suite de la chronique chez Laterna Magica.
C’est peu dire que d’affirmer que j’attendais ce film avec impatience. J’étais tellement sûre que j’allais l'adorer, que je craignais presque d’être déçue. Ba non. Be Kind Rewind est la quintessence de ce tout que j’adore chez Gondry, avec peut-être même quelque chose en plus : l’amour ? Sous le bricolage, la fantaisie et le délire ambiant, encore plus d’humanité et de tendresse ? En tout cas, premier sujet de réjouissance, et non des moindres : Be Kind Rewind est un film proprement hilarant, du début à la fin. À l’image du film collectif, biopic du jazzman Fats Waller, que réalisent les habitants de la petite ville de Passaic où se déroule l'action, Be Kind Rewind est un délire permanent, une fantaisie burlesque irrésistible ...
Lire la suite de la chronique chez Goin' to the movies.
Jerry et Mike sont deux amis d’enfance. Jerry est un mécanicien un peu paumé. Il survit dans un camping car et il craint les radiations micro ondes émises selon lui par la centrale électrique locale. Mike travaille pour Monsieur Fletcher, proprio d’un magasin où on ne loue exclusivement que de vieilles VHS. Le jour où Fletcher doit s’absenter pour un voyage, il donne les clés de la boutique à Mike avec ce seul ordre : ne pas faire rentrer Jerry dans la boutique. Et pour cause : celui-ci , après un incident survenu dans la centrale qu’il voulait saboter, se retrouve chargé électriquement et efface sans le savoir le contenu de toutes les cassettes du magasin, par sa simple présence ...
Lire la suite de la chronique chez Devotionall.
Chez les Gondry, on aime le surnaturel, le tordu et les histoires de famille. Pas étonnant en voyant l’univers graphic de Paul (fils Gondry, dessinateur et vidéaste) que son père Michel ait décidé de l’inclure dans la production de son dernier long-métrage : « Be kind Rewind ». Comme un fil conducteur, la fresque de Fats Waller dessinée sous un pont par Paul représente à la fois l’esprit du film et son sujet, et introduit les personnages de cette histoire : Les « H-Zéros » : Jerry, orphelin recueilli par un amateur de jazz et Mike, doux dingue un peu mégalo. Ne revenons pas sur l’absurdité du titre français et entrons dans l’univers ...
Lire la suite de la chronique chez Culturopoing.
Un film réalisé par Michel Gondry sur des bidouilleurs qui bricolent des remakes avec tout un bric-à-brac de récupération, ça ressemble quand même furieusement à une mise en abyme : mettre en scène des nounours marchant dans la forêt, des trains en cartons, des studios en boîtes d'oeufs, c'est ce que l'ex-batteur de Oui-oui fait depuis plus de 15 ans dans ses clips, ses pubs, ses courts et ses longs métrages. Pas étonnant donc que le meilleur de "Be Kind Rewind" (titre original beaucoup plus gondryesque que sa traduction littérale française) se trouve dans les films "suédés" - le duo explique à leurs clients que les films sont réalisés en Suéde ...
Lire la suite de la chronique chez Critiques clunysiennes.
Bien que tous sensiblement disparates dans leur fond et dans leur forme, les films de Michel Gondry forment un ensemble archi cohérent sur lequel trônent des thèmes récurrents, cohabitant, dans leur globalité, dans Be kind rewind. Human Nature, premier essai charmeur et bordélique, peignait en soutane la valse sentimentale d’un trio composé de scientifiques et un homme-singe coupé(s ?) du monde. Dans Eternal Sunshine…, sensationnel film d’amour post-moderne, l’amour était à bannir dès lors qu’apparaissait le chagrin ...
Lire la suite de la chronique chez Cahier critique.
Eh bien, on m'avait prévenu mais effectivement, pas terrible ce dernier film de Michel Gondry on est très loin du sublime "Eternal Sunshine of the Spotless Mind" en 2004 avec un très grand Jim Carrey, Oscar du meilleur scénario quand même et du pas si mal "La Science des rêves" en 2006 avec Charlotte Gainsbourg mais déjà un peu touffu et inégal ...
Lire la suite de la chronique chez Blog Culturel.
Après l'excellent "Eternal Sunshine", et le moins excellent quoique parfois étincelant "Sciences des rêves", Michel Gondry livre un nouveau film qui creuse, c'est le moins que l'on puisse dire, le même sillon, mais sur un versant ... altermondialiste. A savoir qu'il combine d'ingénieuses trouvailles parfois hilarantes avec un infantilisme toujours aussi marqué et une dénonciation particulière de la grande industrie du cinéma ...
Lire la suite de la chronique chez Acide Critique.