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02
2009

Le petit fugitif - Ray Ashley

4 chroniques recensées

Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
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Le petit fugitif, 
De Ray Ashley,
Avec R. Androsco, R. Brewster, W. Cushing,

Disponible en DVD en import,
Le petit fugitif - Ray Ashley
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Réalisé par les photographes et réalisateurs américains Morris Engel, Ruth Orkin et Ray Ashley, Le Petit Fugitif (The Little Fugitive) raconte l’errance d’un enfant le long de la plage de Coney Island, un quartier situé au sud de New-York, dédié aux manèges et aux jeux. Récit de la découverte d’un monde à travers ses yeux, ce film, qui marqua un tournant décisif dans le cinéma américain de l’époque, dresse le portrait d’un petit garçon qui fait l’apprentissage de la réalité et de la solitude, avec une curiosité, une maturité et une légèreté déconcertante ...

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Le petit fugitif, c’est Joey, un môme de six ans à la bouille toute ronde, la coupe au bol et au sourire auquel manquent les dents de devant. Lorsque leur mère doit quitter Brooklyn pour une journée, et que son grand frère Lennie lui fait une mauvaise blague et simule sa mort, Joey s’enfuit à Coney Island, ses manèges, sa plage, l’évasion qu’elle propose. Le petit fugitif est aussi ce film de 1953 qui inspira en partie certains réalisateurs de la Nouvelle Vague. Dans Les 400 coups de Truffaut sorti en 1959, on suit le parcours initiatique d’un jeune garçon en fuite, qui s’échappe de son milieu modeste pour rêver sur les Grands Boulevards, un gamin à la gouaille sans pareille, incarné par Jean-Pierre Léaud, qui incarne l’espoir et l’insouciance de l’enfance confrontés à une certaine réalité sociale ...

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Film pré-Nouvelle Vague dont était gaga Truffaut, Le petit fugitif pose dès 1953 les bases de la production indépendante, du cinéma alternatif, du cinéma de la vie, de la rue, effronté et poétique. Un cinéma qui arpente Brooklyn comme un immense plateau de cinéma, parachevant l’idée que la vie et le cinéma ne font qu’un, se confondent et se lient. Filmé avec espièglerie, monté avec candeur, Le petit fugitif retrace la journée d’un petit garçon persuadé d’avoir assassiné son grand frère, canular de celui-ci pour en être enfin débarrassé ...

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Le petit fugitif date de 1953. Cette année-là, il a reçu le Lion d'argent à Venise, ex-aequo avec Les contes de la lune vague après la pluie de Mizoguchi. Il vient de ressortir en "réédition exclusive en VOSTF" (sic). C'est grâce à mon ami, qui m'en a parlé et avec qui j'y suis allée, que j'ai pu découvrir ce film qui a inspiré Les 400 coups de Truffaut. Film en noir et blanc, il a suscité l'admiration de grands cinéastes dont ceux de la Nouvelle vague. Le petit fugitif est un mélange de documentaire et de fiction ...

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Note : 3.5/5 (4 notes)


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