Source : EightDayzaWeek
Mis sur rails par sa traumatisante ouverture et sa thématique hautement boulifiante (le plaçant à quelques échelons au dessus encore de Rosemary’s Baby dans la liste noire pour parturientes), cette production nerveuse, immersive -et so disturbing !-, mise en boîte avec un réalisme quasi documentaire (créature mise à part) et une empathie hagarde contagieuse, s’avère une méchante affaire de tripes, plus rough et directe que le Brood de Cronenberg, et offre une froide et douloureuse réflexion sur la responsabilité de l’enfantement (et du filial exacerbé) [..]