Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
CinémaniaC, Blog Culturel, Critiques clunysiennes, Peyomedia, Acide critique, Xav-B.log, Chez Lo, Matière Focale, Dr Orlof, l'ouvreuse, Et Action !, Sirensorrento
Ce sera sûrement "le" film branché qu'il faut aimer, interminable file d'attente dans la rue, la salle comble, les rires, les applaudissements, l'avant-première du film "la Science des rêves" fut un franc succès dans la salle bien que les questions à l'équipe du film après la projection (annoncées "sous réserve" ) aient été zappées... La veille, un réalisateur faisait le déplacement de Los Angeles à Paris pour présenter son film, un autre venait de Singapour mais de Paris à Paris, c’est plus compliqué... Stéphane Miroux arrive du Mexique pour un boulot de dessinateur, enfin, c'est ce qu'il croit, sa mère (Miou-Miou) ne lui a pas dit toute la vérité sur ce travail qu'elle lui a déniché ...
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Après Eternal sunshine of the spotless mind, son beau et étonnant premier film avec entre un Jim Carrey excellent on attendait Michel Gondry au tournant et il tourne sa page avec la plus grande déférence, le rêve se poursuit, se différencie et s'intègre dans ce film un peu décousu scénaristiquement si l'on peut dire mais qui a en lui cette force surréaliste qui fais qu'il aiguise l'intérêt et que vous vous prêtez au jeu et que bientôt vous vous perdrez, que vous voguerez vous aussi entre réalité, rêve debout, assis ou couché ...
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Michel Gondry est un réalisateur hors-norme et La science des rêves en est la toute dernière preuve. Autobiographique de son propre aveu, ce troisième long-métrage est un voyage au coeur de l'onirisme, cette activité mentale semblable au rêve mais se produisant à l'état de veille. Il m'est pourtant difficile de parler de ce film car il me faudrait vraiment une deuxième lecture pour parfaire mon jugement et saisir au mieux les moindres petits détails qui fleurissent tout au long de l'oeuvre. Créatif et riche en idées, La sciences des rêves est donc tout cela à la fois ...
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"Nous sommes faits de la même étoffe que les songes et notre petite vie, un somme la parachève". Ces mots, Shakespeare les met dans la bouche de Prospero (dans la Tempête), roi en exil et puissant magicien. Le réalisateur n'est-il pas aujourd'hui l'équivalent contemporain du magicien ? On tendrait à la croire à contempler cette "science des rêves" où l'on passe avec fluidité du monde réel à l'onirisme - ce qui était déjà le thème de Eternal Sunshine... .On trouve donc dans ce film des scènes véritablement remplies de grâce ...
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Synopsis : Suite au décès de son père, Stéphane revient à Paris après plusieurs années au Mexique. Face à sa vie monotone, le jeune homme s'est inventé une autre vie dans ses rêves, il est séduit par sa voisine Stéphanie qui, elle aussi, a une grande imagination.
Critique : Cocorico ! Michel Gondry est de retour en France ! Le réalisateur, qui a fait ses armes sur les clips de Bjork et avait réalisé ses deux premiers longs métrages (Human Nature et Eternal Sunshine Of The Spotless Mind) aux Etats Unis, a choisi la France pour mettre en image son nouveau délire. Michel Gondry délaisse Charlie Kauffman, le scénariste de ses deux premiers films, pour écrire son premier scénario ...
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C'est un film original et léger, qui réjouit celles et ceux dont la sensibilité n'a pas tout à fait disparu, et qui aiment se laisser glisser vers des rêveries loufoques. Il mérite d'être vu rien que par son originalité, et cette place laissée à l'imagination, aux effets spéciaux de carton, de plastique et de coton ...
Lire la suite de la chronique Chez Lo.
Gael Garcia Bernal (qu'on aurait pu appeler Gael pour des raisons de commodités, et qu'on préférera appeler Bernal, car le prénom Gael, même au masculin, rappelle des souvenirs douloureux aux spectateurs, voir photo), est un jeune homme mexicain qui rentre à Paris, auprès de sa mère (française), suite au décès de son père (mexicain). Sa maman (Miou-Miou dites donc ! Décidément très en forme) lui a trouvé un travail créatif dans une petite entreprise de fabrication de calendriers promotionnels où il travaille en binôme avec Alain Chabat. Bernal est vite déçu par son travail. Lui qui est très créatif (dessins, inventions diverses et variées, etc.) se retrouve en fait maquettiste, et pas du tout illustrateur des dits calendriers ! ...
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N’ayant que très peu apprécié le premier film de Michel Gondry (cet exercice de style ultra-maniéré qu’était Human nature avec une Patricia Arquette couverte de poils), je ne suis pas allé voir Eternal Sunshine… dont la petite aura critique m’a cependant donné envie de renouer avec le cinéaste malgré quelques appréhensions liées au commentaire critique d’un certain Boulet dont je vous ai parlé plus haut (« Mhouais, c’est gentil, c’est mignon ! Ca ressemble un peu à Amélie Poulain » Le genre de réflexion qui me fait prendre les jambes à mon cou !) Pour son troisième film, Gondry est revenu en France et suit les aventures d’un jeune homme, Stéphane, dont le père vient de mourir d’un cancer ...
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Stéphane est né en France. Son père était de nationalité mexicaine. Parlant espagnol, anglais et français, cet homme international revient dans son pays natal après la mort de son père, contraint par la force des choses (et le souhait de sa mère) à se réinstaller dans un endroit qu’il avait vite fait d’oublier. Là, il va se retrouver au beau milieu d’un dilemme : sa voisine de palier. Tombant éperdument amoureux de cette grande sauterelle, Stéphane retrousse ses manches ...
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On retrouve Michel Gondry dans ce film vraiment décalé et totalement loufoque...l'imagination il n'y a que cela de vrai! Les rêves sont alors le pretexte à des effets visuels d'objets bricolés, et de délires imaginatifs. Les acteurs sont excellents surtout Gael Garcia Bernal mais les acteurs français ne sont pas en reste ...
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Tout s’annonce parfait dans ce film : Le réalisateur Michel Gondry, l’inventif créateur des clips de Björk et du sublime Eternal Sunshine of the Spotless Mind, le casting des acteurs (si on excepte la Gainsbourg que j’exècre !), et le sujet empreint d’onirisme qui avait de quoi me séduire. Eh bien, c’est raté ! Gael Garcia Bernal n’est pas du tout à l’aise ...
Lire la suite de la chronique chez Sirensorrento.