Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
CinemaniaC, Rob Gordon, La plume et l'image, Une toile pour deux
Joyeuses funérailles, De Frank Oz Avec M. MacFadyen, R. Graves, A. Tudyk Sortie le 19 Septembre 2007 |
|
Acheter Joyeuses funérailles sur Amazon |
Qui a fait courir le bruit que les Marx Brothers étaient morts ? On nous avait vendu cette arnaque depuis des décennies et voilà que le deuil se lève : ont-ils été sélectionnés pour présenter leur nouvelle production en avant-première à Deauville en marge du festival 2007 ? A l’occasion d’une cérémonie de funérailles, plusieurs groupes se dirigent vers la maison du défunt sur une musique pimpante de comédie. ...
Lire la suite de la chronique de CinemaniaC.
Tous les dix ans, entre deux films plus ou moins mauvais, Frank Oz nous revient avec une jolie petite surprise. La dernière en date s'appelait In & out, récit du coming-out mal assumé d'un Kevin Kline bien trop sage. Joyeuses funérailles reprend dans les grandes lignes les principes qui ont fait la réussite du précédent : ploger un sujet tabou au coeur d'une communauté coincée, agiter dans tous les sens, et servir brûlant ...
Lire la suite de la chronique de Rob Gordon.
Le jour des funérailles du patriarche, la famille et les amis arrivent chacun avec son lot de problèmes. Le fils aîné Daniel va s'affronter à son frère rival, Robert, qui vit de sa plume aux Etats-Unis, Martha, sa cousine, chercher à faire accepter son nouveau fiancé à son père, ce qui sera chose rendue encore plus difficile que ce dernier a avalé, par inadvertance, une pillule hallucinogène. Mais les complications s'aggravent encore, quand débarque un curieux personnage, que nul ne connait, mais qui assure, quant à lui, avoir très intimement connu le défunt et être tout disposé à révéler des choses ...
Une comédie qui se moque des funérailles, cela paraissait prometteur sur le papier. Malheureusement, le film déçoit beaucoup. Il y a un évident manque de rythme (j’ai failli m’endormir), les blagues s’enchainent mais ne font pas déclencher les rires espérés. L’humour est finalement très potache, trop potache, parfois même vulgaire. Un bref aperçu des blagues du film est à lui-seul évocateur : un mort qui ressuscite dans son cercueil, un gendre défoncé après absorption d’une pilule et qui se trimballe nu sur le toit ...