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04
10
2007

Good night and good luck - George Clooney

4 chroniques recensées

Liste des chroniqueurs sur ce sujet :

, , ,

 

Goodnight and good luck,
De

Avec R. Strathairn, G. Clooney, R. Downey Jr, R. Wise
Sortie le 4 janvier 2006

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1953, Edward R. Murrow, présentateur vedette de CBS, et son producteur Fred Friendly, s'attaquent au sénateur Mc Carthy et ses méthodes inquisitoriales contre les sympathisants communistes... Avec Good night and good luck, George Clooney signe un film brillant et engagé sur bien des fronts. Politiquement bien sûr, il nous replonge au coeur du maccarthysme, cette chasse aux sorcières consistant à écarter les sympathisants communistes de tous les postes sensibles ou stratégiques des Etats-Unis. Une poussée de fièvre anti-rouge qui contamina donc les Etats-Unis et notamment les médias qui n'osèrent pas s'attaquer au sénateur inquisiteur ...

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C'en est ainsi de la plupart des films au contenu (trop?) fort… Le traitement du sujet n'est pas à la hauteur.... S'agissant du film réalisé par Georges Clooney, "Good night, good luck", il ne vient pas à l'esprit de dire « aurait pu mieux faire », ça serait plutôt le contraire, à chaque plan, on sent que l'acteur s'est exagérément appliqué à rendre une copie parfaite de premier de la classe, du fils accompli apportant un bon carnet de notes à son père. On a lu un peu partout que le père de Georges Clooney fut toute sa vie journaliste dans une télévision de province et le film lui rend hommage par le truchement du portrait d'Edward R. Murrow, célèbre chroniqueur sur CBS Television dans les années 50. Le nom d'Ed Murrow passa à la postérité pour avoir combattu ouvertement et isolément le délire obsessionnel du Sénateur du Winsconsin, Mac Carthy ...

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Voici le portrait d'un véritable Cassandre de la télévision, d'un homme rigoureux au visage émacié et nimbé par la fumée des cigarettes - nous avons nommé Ed Murrow, interprété remarquablement par David Strathairn, tout en colère retenue, sévère, et précise. Ed Murrow est utilisé par Clooney comme le procureur d'un procès de ce qu'est devenue la télévision, dont le réquisitoire ouvre et conclut le film : "Nous sommes gras et satisfaits, allergiques aux nouvelles dérangeantes" ...

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1958 : le journaliste Edward Murrow (David Strathairn) fait ses adieux à la chaîne de télévision CBS après plus de vingt ans de bons et loyaux services. Il en profite pour tancer quelque peu, comme à son habitude, le peuple américain et les têtes pensantes en se demandant si la boîte noire a encore une raison d’être et si les journalistes qui peuvent utiliser ce medium en profiteront encore pour dénoncer les injustices politiques qui sévissent dans le monde ...

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Note : 3.4/5 (9 notes)


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