Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Laterna Magica, Sur la route du cinéma, les nouveaux cinéphiles, Rob Gordon, Xav-B.Log, Critiques clunysiennes, Les irréductibles, Boustoune, BMR & MAM, Cinéfeed, Playlist Society, Publik'art
Good Morning England,
De Richard Curtis,
Avec P-S. Hoffman, R. Ifans, B. Nighy
Sortie le 6 Mai 2009
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Dans les années 60’s, le conformisme musical tend à diaboliser le son rock. La jeunesse s’ennivre malgré tout des mélodies endiablées des Kinks et cie grâce à la réception d’une radio pirate laquelle émet 24h/24 depuis un bateau au large de la Grande-Bretagne ... Derrière Good Morning England, il y a une fine équipe rompue au succès depuis plus d’une décennie. Les scénaristes de Quatres mariages et un enterrement, Coup de foudre à Notting Hill ou encore Le Journal de Bridget Jones ont prêtés leurs plumes à Richard Curtis, le réalisateur de Love Actually ...
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Comment vous inciter à vous précipiter (et oui, il faudra beaucoup vous précipiter cette semaine : cf. ci-dessous !) pour voir ce film déjanté, électrique et jouissif à qui je prédis et souhaite une carrière de film culte ? Que la salle dans laquelle je me trouvais lui a fait une ovation et que chacun avait un sourire d’une oreille à l’autre et de l’électricité dans les pattes en sortant ?...
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Une très très bonne surprise. Incontestablement un de mes coups de coeur de ce premier semestre. Good Morning England fait partie de ces "feel good movies". On en sort le sourire aux lèvres et l'envie de fredonner tous ces airs qui dynamitent l'histoire. La BO du film est en effet survitaminée avec des dizaines et des dizaines de tubes des sixties. Les acteurs s'amusent et nous avec ...
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En 2003, après une décennie passée à semer la joie grâce à d'imparables scénarii de comédies romantiques, Richard Curtis s'est volontairement sabordé en écrivant et tournant Love actually, splendide film choral mêlant une dizaine d'histoires passionnantes qui auraient pu donner dix films. Une façon de boucler la boucle et d'annoncer son désir de passer à autre chose, de ne pas être mister romance jusqu'à la fin de son existence ...
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Dans la lignée des biopics musicaux qui fleurissent depuis quelques années, Richard Curtis nous apporte Good Morning England. Hymne au rock n roll et a la pop qui rejouissait la moitié des anglais dans les années 60. Un film emprunt de bonne humeur qui nous embarque pour 2h15 de bonheur simple. Richard Curtis, c'est l'homme derriere les succés de Quatres Mariages et Un Enterrement, Love Actually, Le Journal de Bridget Jones et Mr Bean. Pour son second film en tant que réalisateur, il a choisi de rendre hommage aux hommes qui lui ont fait découvrir le rock n roll. Tous les animateurs de radio pirates qui comme dans le film émettait a bord de bateau autour de l'angleterre ...
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Il est des films qui, à leur vision, vous donne une envie irrépressible de courir prendre une paire de ciseaux et de tailler dans la pellicule pour extraire quelques dizaines de minutes qui puissent donner matière au bon film que le réalisateur a raté. "Good Morning England" (traduction "française" de "The Boat That Rocked", allusion au slogan de Radio Caroline : The boat rocking the world) fait partie de ces films, tant on peut distinguer quelques pépites au milieu d'une gangue de fange. Commençons par la fange. On sent bien que Richard Curtis est parti d'une idée simple ...
Lire la suite de la chronique chez Critiques clunysiennes.
Évoquer les années 60’s, la vague de musique qui venue des States ou née sur place en Grande-Bretagne s’abattit pour notre plus grand bonheur sur la planète…Opter de suivre comme fil conducteur le destin d’une radio pirate, les seules à diffuser alors sans complexe ce style musical ... Appeler cette antenne « Radio Rock », pourquoi pas même si pour peu que l’on ne soit pas néophyte, qu’on ait vu le jour disons en 1960 comme votre « détestable » serviteur, qui plus est dans le nord de la France où il était alors possible de capter sur les ondes courtes Radio Caroline ...
Lire la suite de la chronique chez Les irréductibles.
Avec tout le remue-ménage politico-médiatique et la polémique autour de la loi Hadopi, on entend beaucoup parler de ces « pirates » qui par leurs téléchargements illégaux, sont accusés de ruiner nos artistes et contribuer à l’appauvrissement culturel du pays… Le nouveau film de Richard Curtis, Good morning England, met en avant d’autres pirates, qui, eux, ont en revanche contribué à décoincer les mentalités et à faire connaître de nombreux artistes, en promouvant la pop et le rock’n roll. Il nous replonge au cœur des années 1960, en Angleterre. C’était alors l’apogée du rock anglais, l’époque des Beatles, des Rolling stones, des Who et de tant d’autres ...
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Les critiques sont plutôt sévères à l'égard de cette sympathique farce qui met en images une bande son extra (tout le rock'n roll des années 60 y passe, de Jimi Hendrix aux Who) avec un propos des plus simples : vers 1966, un britannique sur deux écoute en cachette les radios libres qui émettent depuis des bateaux en Mer du Nord et diffusent du rock à longueur d'antenne alors que le gouvernement de sa majesté tente différents artifices pour "illégaliser" ces trublions ...
Lire la suite de la chronique chez BMR & MAM.
Good morning England retrace les heures brûlantes de cette époque en suivant la bande de DJ au service de la pop et du rock. Belle galerie de personnages hauts en couleur, le film est avant tout une ode à l'amour de la musique. Ce qui unit ces hommes après les avoir réunis c'est les Who, les Stones, les Beach Boys, Otis, Janis, Jimmy, the Troggs, the Box Tops et tous les autres ...
Lire la suite de la chronique chez Cinéfeed.
S’il y a bien une séance de cinéma dont je me souviens parfaitement, c’est bien celle où j’ai vu « Love Actualy » avec Anne-Laure. Je m’en souviens parfaitement parce que j’ai été odieux ce jour là. Alors que tout le monde semblait apprécier le film, je ne cessais de pouffer de rire comme une gamine de 15 ans. Je trouvais le film tellement niais, tellement balourd dans les émotions qu’il essayait de susciter chez le spectateur, que le moindre coup de violon me faisait partir dans un fou rire insensé ...
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Année 1966 - L’apogée du Rock n’Roll, et pourtant celui-ci n’est diffusé sur aucune radio anglaise… Voilà comment commence ce petit film, dont le titre en français (?) reprend allégrement celui de son cousin Good Morning Vietnam (qui parlait déjà de radio, tiens) qui fait ma foi un carton en France en ce moment. Réalisé par Richard Curtis (”roi” de la comédie romantique avec des films tel que Love Actually, 4 Mariages et un Enterrement ou Le Journal de Bridget Jones), ce petit film a l’air de bien passer en ces temps moroses de crise économique ...
Lire la suite de la chronique chez Publik'art.