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02
2009

Elève libre - Joachim Lafosse

9 chroniques recensées

Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
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Elève libre, 
De ,

Avec J. Bloquet, J. Zaccaï, Y. Renier
Sortie le 4 Février 2009
.

 
Après Douches Froides (Anthony Cordier, 2005) et Naissance des pieuvres (Céline Sciamma, 2007), éveil de la sexualité et sport se mêlent encore dans le nouveau film de Joachim Lafosse. L’année dernière nous découvrions enfin Joachim Lafosse à travers Nue Propriété, un drame intense servit par un trio d’acteurs génial : Isabelle Huppert, Jérémie et Yannick Rénier. Yannick est encore de l’aventure pour Elève Libre, audacieux portrait d’un adolescent en plein éveil sexuel ...

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C'est donc confirmé : Joachim Lafosse est un grand, un vrai grand, un jeune réalisateur qui n'est déjà plus un espoir mais bel et bien un cinéaste confirmé. En trois films, ce trentenaire belge a démontré qu'il était non seulement un filmeur hors pair, mais également un brillant raconteur d'histoires, sachant insuffler une perversité non feinte dans des situations a priori banales. Élève libre ne déroge pas à la règle, exploitant un postulat limite benêt (un ado en échec scolaire prépare un examen en candidat libre et connaît ses premiers émois sexuels) pour opérer un lent glissement vers des évènements bien moins ordinaires ...

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Il est fascinant de constater, film après film, le talent toujours plus croissant de Joachim Lafosse. Après Ca rend heureux et Nue propriété, le cinéaste semble déjà avoir dépassé le stade de l’éclosion et atteint la totale maîtrise de son art, mélange de réalisme brut et de théâtralité minimaliste. Quelque part entre Pialat et Chéreau, pour la violence tacite des rapports humains et l’intensité qui en découle, Joachim Lafosse creuse néanmoins son propre sillon, explore la voie qui est la sienne et touche ici à une certaine perfection, preuve de la (déjà) grande maturité de son cinéma ...

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“Nue Propriété”, le précédent film du jeune cinéaste belge Joachim Lafosse, avait élégamment imposé son auteur comme espoir extrêmement prometteur du cinéma francophone. Et même un peu plus, tant les qualités de ce remarquable film semblaient relever d’une grande maturité artistique. Avant de juger sur pièce de son nouvel opus, on lui saura gré, choisissant un sujet des plus délicats, de ne pas s’en remettre à la facilité. Le “sujet” en question: Jonas, collégien pubère au parcours scolaire médiocre pour qui la dernière chance de rattraper le train des études est de passer un concours auquel un adulte proche va le préparer, ajoutant aux révisions de maths et de philo des cours du soir de libertinage ...

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Je vais finir par donner raison à mes détracteurs qui me reprochent de ne parler que de films vus à la télévision si je ne me décide pas à retourner en salles. Le problème, c'est que toutes les nouveautés susceptibles de m'intéresser (Schroeter, Serra, Fleischer, Oliveira...) ne sont pas sorties dans ma ville. Du coup, j'ai fait confiance aux critiques et me suis aventuré à aller voir le dernier opus de Joachim Lafosse (Nue propriété) dont je n'avais vu aucun film. Jonas est un adolescent de son époque : doué au tennis, il passe à côté de sa scolarité et se voit réorienté vers une filière professionnelle (avec, selon ses propres mots, « les ratés »). Il décide alors, pour éviter cela, de passer un examen en candidat libre qui lui permettra d'intégrer une école spécialisée ...

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Difficile de se prononcer, y voir une monstrueuse machination à l’égard d’un adolescent ? Pas évident ! Une volonté de l’accompagner sur le chemin de l’éducation et de l’émancipation peut-être ? Jusqu’à être rattrapé par ses propres démons, que l’on refuse de voir comme tels, sans doute. Que ce soit dans la demeure familiale, dans l’appartement du désormais professeur privé, sur la piste du boite de nuit, autour d’une table pour un repas entre amis, Joachim Lafosse en de multiples plans, de manière réaliste, dans une ambiance un tant soit peu grise ...

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Elève libre, le quatrième long-métrage de Joachim Lafosse, risque de choquer plus d’un spectateur. Non pas à cause de certaines scènes explicites, qui sont filmées avec une certaine pudeur, mais à cause des thèmes abordés, un peu tabous : la perversion de l’innocence, la sexualité des ados, la pédophilie… Mais le réalisateur ne cherche absolument pas à choquer gratuitement. Si tel était le cas, il aurait privilégié la pornographie et l’obscénité plutôt que son approche suggestive. Non, il cherche à faire réfléchir sur les sujets de la transmission du savoir, de l’importance du rôle de l’éducateur ...

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Cela faisait un moment que l'on avait pas vu un bon petit film français (ou européen puisqu'il s'agit d'une co-production avec la Belgique) sur le désir naissant et les contradictions de l'adolescence, tout en longs soupirs et plans contemplatifs. Aussi lorsqu'on voit l'affiche d'Élève libre, l'intérêt s'aiguise pour qui a aimé en son temps Les Roseaux sauvages et autres Presque Rien. D'autant plus que dans le rôle du jeune tourmenté, Joachim Lafosse n'a pas choisi le pire. C'est donc le beau Jonas Bloquet, déniché sur un cours de tennis, boucles blondes et yeux de biche, qui incarne un adolescent délaissé ...

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On me l'avait annoncé dérangeant, je l'ai trouvé, comme mon copain Zvezdo plutôt... déprimant.Un angelot blondinet qui ahane fort au tennis mais a des problèmes en classe est pris en main par un trio (deux hommes et une femme) d'amis de sa mère (prédateurs ? manipulateurs ?) qui vont s'attacher à parfaire son éducation : en maths, en philo et en allemand, certes, mais d'autres domaines bien plus... physiques aussi ...

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Note : 3.4/5 (10 notes)


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