Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Through my eyes, Rob Gordon, Dr Orlof, Les Irréductibles
Désengagement, D'Amos Gitaï Avec J. Binoche, L. Levo, J. Moreau Sortie le 9 Avril 2008 |
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Le dernier Amos Gitaï est construit comme une contradiction, selon deux parties distinctes mais nécessaires l’une à l’autre, de qualités et de contenus très différents. Dans la première partie du film, nous sommes en France, et plus précisément à Avignon. On devine l’été au soleil perçant à travers les fenêtres et aux tenues légères des personnages. Uli (Liron Levo), un jeune israélien, rencontre une femme palestinienne ...
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2008 est définitivement l'année Juliette Binoche. Désengagement est n'est rien de moins que le quatrième film présenté par la comédienne en moins de quatre mois. Si cette omniprésence est en partie due aux hasards de la programmation, elle s'explique également par la cote montante de l'actrice auprès de réalisateurs d'autres contrées, à la notoriété relative mais au talent reconnu. Qui d'autre qu'elle pour incarner la Ana de Désengagement, prolongement quadra du personnage incarné par Natalie Portman dans Free zone, le précédent film d'Amos Gitai ?
Lire la suite de la chronique de Rob Gordon.
J’ai un rapport assez particulier à Amos Gitaï. Etant donné que je n’ai pas vu les films qui firent sa réputation (sa trilogie sur les villes israéliennes : Devarim, Yom-Yom et Kadosh), je reste un peu perplexe vis-à-vis de l’enthousiasme que soulève ce cinéaste chez certain. Je reconnais avoir décelé des qualités dans Kippour (qui ne m’avaient pas empêché aussi de bailler poliment) et Terre promise m’avait plutôt intrigué en bien (il y avait là un réel effort de stylisation). Par contre, Eden me parut fort médiocre et ce Désengagement ne relève pas franchement le niveau
Lire la suite de la chronique du Dr Orlof.
En trois actes : un baiser fougueux entre un policier en civil israélien et une femme d'affaire palestinienne qui voyagent dans le même train , l'étranger là bizarrement et en fait normalement est ce militaire chargé de vérifier les papiers aux passages de frontière, cette courte scène, mais significative ouvre et donne le ton, laisser vos préjugés aux vestiaires
Lire la suite de la chronique chez Les Irréductibles.