Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Les toiles roses, Dr Orlof
La fureur de vivre, Nicholas Ray Avec J. Dean, N. Wood, C. Allen, Sortie en DVD |
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Le milieu socio-culturel dans lequel évoluent les adolescents du film La Fureur de vivre se caractérise par le confort matériel et l’aisance financière, et au premier abord, aucun indice ne laisse supposer qu’il peut être le lieu d’une crise générationnelle ; rien de ce qui peut sembler un fondement social aux problèmes des « jeunes », tels que nous les appréhendons en ce début de troisième millénaire en France ou aux E.U.A., n’apparaît dans le film. Pourtant, en commençant dans un commissariat, à la brigade des mineurs, par l’audition des trois personnages principaux, qui ne se connaissent pas encore, La Fureur de vivre pose comme donnée première au récit un état de dépression généralisée (...)
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Est-il encore nécessaire de présenter La fureur de vivre, classique parmi les classiques que je n’avais pas revu depuis un bail ? Une simple énumération pourrait suffire : James Dean (mort quelques jours avant la sortie du film), la veste rouge de la star, la course de voitures au bord de la falaise, le final dans le planétarium… Film le plus connu du cinéaste, La fureur de vivre n’est pas, osons l’écrire, son meilleur. Entendons-nous bien : s’il sortait chaque semaine un film du niveau de celui de Ray, je ne me ferais aucun souci pour l’avenir du cinéma. Mais comparé à d’autres classiques (et même les siens, je pense au génial Les amants de la nuit), l’œuvre a pris quelques rides (...)
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