Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Cahier Critique, Culturopoing
Dear John, Loney Dear, Parution en 2009 |
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Album de clôture que ce Dear John, disque qui parachève ce qu’avait entreprit Emil Svanängen sur les quatre précédents, à savoir un folk enneigé, une pop cajoleuse à la grâce délicate atteignant sans forcer des sommets d’émotion dans de suaves crescendo. Des montées en puissance qui, avec une facilité désarmante, emportaient la chanson dans un tourbillon de spleen et d’énergie ; la larme et le sourire, telle était la résultante d’un I lose it all par exemple. Désormais, à la façon d’un chef d’orchestre impatient de parfaire son œuvre, le Suédois démarre chaque titre par le crescendo, dans un style toujours plus ampoulé, précoce ...
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Le printemps oui, la fin de la glaciation folk (un homme, sa guitare et son quatre pistes) ou encore la fonte des glaces rock (couplet en roue libre, refrain avec gros coup de dock Marteens sur la pédale de distorsion, chanteur en sueur dés les balances), le printemps et ses petits trublions qui gazouillent ça et là leurs mutines compositions célébrant les joies d’une fenêtre ouverte sur le monde et sur le soleil matinal qui entre dans le salon pour y éclairer (et chauffer par la même occasion) la guitare ...
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