Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Chez Lo, Sirensorrento, Through my eyes
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| Biographie de la faim, D'Amélie Nothomb Edition Albin Michel depuis 2004 |   |
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L'intelligence d' Amélie Nothomb est atypique, toujours fascinante. On retrouve dans ce livre nombre des obsessions et des thèmes fétiches qu'on lui connaît comme les livres évoqués dans Les Combustibles, la beauté des femmes (Antéchrista), les hommes à qui elle n'accorde que très peu de place si ce n'est sous un mauvais jour (comme dans Hygiène de l'assassin), sa soeur qui est son double...
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C’est le cru Nothomb 2004. Je n’ai lu d’elle que deux livres : Acide Sulfurique – l’histoire de la téléréalité dans un camp de concentration – que je n’ai pas du tout aimé car trop facile (franchement, prendre la téléréalité poussée à l’extrême, Hollywood y a déjà pensé avant elle !), et Métaphysique des tubes - autobiographie romancée de 0 à 4 ans- que j’avais trouvé agréable à lire, mais pas formidable non plus. Jonathan m’a prêté Biographie de la Faim (Merci Jonathan !) pour que je puisse trancher et dire « j’aime ou j’aime pas Amélie Nothomb ». En fait, je ne dirai ni l’un, ni l’autre ...
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A ceux qui se demandent pourquoi je persiste, je vais fournir une explication. Je n’avais jamais lu Nothomb comme je n’ai jamais lu Houellebecq ou Beigbeder. C’est trop commun, à mon sens. Comme Coelho, Levy, Danielle Steel et Patricia Cornwell. Les livres pour les gens, quoi. Bon et puis sous la pression, j’avais craqué pour lire du Nothomb, malgré moulte mises en garde. J’ai lu un truc avec des tubes. Je sais plus quoi. C’était lisible mais bizarre ...
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