Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Xav-B.log, Matière Focale, CinemaniaC
Basic instinct 2, De Michael Caton-Jones, Avec S. Stone, D. Morrissey, C. Rampling Sortie en salle le 29 mars 2006 Sortie en DVD le 9 novembre 2006 | |
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Synopsis : L'écrivain Catherine Tramell sévit désormais à Londres où elle est soupçonnée de l'assasinnat d'un célèbre footballeur anglais. Le Commissaire Roy Washburn demande au psychiatre Michael Glass d'évaluer psychologiquement la manipulatrice de génie. Alors qu'elle est disculpée, les meurtres s'enchainent autour du psychiatre.
Critique : Quatorze ans après le scandale provoqué par le premier opus, Sharon Stone revient dans le rôle de la diabolique Catherine Tramel. Il aura fallut huit ans pour arriver à monter le projet qui a épuisé plusieurs réalisateurs et acteurs, Michaël Douglas ayant depuis le début refusé de rempiler. A la vue de ce second opus, on ne peut malheureusement que lui donner raison ...
Critique : Quatorze ans après le scandale provoqué par le premier opus, Sharon Stone revient dans le rôle de la diabolique Catherine Tramel. Il aura fallut huit ans pour arriver à monter le projet qui a épuisé plusieurs réalisateurs et acteurs, Michaël Douglas ayant depuis le début refusé de rempiler. A la vue de ce second opus, on ne peut malheureusement que lui donner raison ...
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En attendant, puisqu'il semble impossible de voir un chouette film (avec la contrainte de l'emploi du temps professionnel aussi, il faut bien l'avouer), nous tentons le choix par le pire en allant voir BASIC INSTINCT II ! Quelle drôle d'idée. Si le N°1 a sa petite réputation, voire sa réputation, culte (évidemment, à l'époque, Verhoeven était un petit chouchou), je dois avouer, et le Marquis avec moi d'ailleurs, que j'ai toujours trouvé le premier épisode de cette désormais série absolument lamentable, et encore une fois, malgré sa réputation, pas ambigu pour un sou, mais au contraire très mal fichu ...
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Disons-le clairement, avec le parti pris de psychanalyser Catherine Trammel, dont on autopsie l'inconscient de A à Z, face à sa nouvelle victime de prédilection remplaçant Michaël Douglas, le flic, par un psy, le Dr Glass (David Morrissey), un vrai bonnet de nuit de surcroît, avec une collègue psy (Charlotte Rampling) , un patron psy, etc… Non seulement on frise l'indigestion freudienne au tiers du film mais encore on réussit un impossible pari : démystifier le mythe Trammel, lui enlever tout mystère et pas mal de perversité, en faire un sujet de thèse aussi excitant que les pages des "Oraisons funèbres" de Bossuet…
Il en résulte un film de bla-bla traversé par quelques outrances ...
Il en résulte un film de bla-bla traversé par quelques outrances ...
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