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28
09
2007

Babel - Alejandro Gonzalez Inarritu

14 chroniques recensées

Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
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Babel,
D'
Avec B. Pitt, C. Blanchett, G. Garcia Bernal

Sortie en salle le 15 novembre 2006
Sortie en DVD le 4 juin 2007

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En plein désert marocain, des enfants jouent avec un fusil que leur père vient d’acheter. Un coup de feu retentit et blesse une touriste américaine dans un bus qui passait sur la route, en contrebas. Les destins de cette femme (Cate Blanchett) et de son mari (Brad Pitt) dont le couple battait de l’aile, les destins des deux enfants responsables du coup de feu, le destin de la nourrice mexicaine des enfants du couple d’américains, le destin d’une jeune japonaise, en l’occurrence la fille de l’homme qui a donné le fusil à un Marocain qui l’a revendu au père des deux enfants : ces destins vont tous avoir une influence les uns sur les autres ...

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Selon d'anciens récits, les hommes parlaient jadis la même langue, et entreprirent grâce à cette entente de bâtir une ville et une tour dont le sommet atteigne les cieux. De charmante humeur comme à l'accoutumée, Yahvé s'alarme et prend donc la décision qui s'imposait, je cite: "Voilà que tous font un seul peuple et parlent une seule langue, et tel est le début de leurs entreprises! Maintenant, aucun dessein ne sera irréalisable pour eux! Allons! Descendons! Et là, confondons leur langage pour qu'ils ne s'entendent plus les uns les autres"...

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Alejandro Gonzalez Inarritu nous a habitué dans ses deux premiers films à ces scénarios habilement tricottés où des histoires apparemment sans rapports entre elles se révèlent interdépendantes. Ce type de narration est très en vogue actuellement, et Tarantino avec "Pulp Fiction", Soderbergh avec "Traffic" ou Paul Haggis avec "Collision" nous avaient déjà offerts des récits de ce type, sans oublier "Trois Enterrements" écrit par Gonzalo Arriaga, le scénariste de "Babel", déjà récompensé en 2005 à Cannes.

Ici, il pousse encore plus loin la logique de cette écriture ...

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Tout Demarre dans des montagnes arides où de jeunes gamins, des bergers gardent le troupeau familial de chevres . Toute leur richesse dans ces montagnes pauvres. A quelques kilomètres de la un homme et sa femme traverse une épreuve qui dangereusement menace l'equilibre de leur couple. Ils sont en voyage dans cette region, voyage touristique, pour essayer d'y voir plus clair sur leur avenir menacé. De l'autre cote de l'atlantique Amelia garde les enfants de ce couple, tous les soirs elle leur passe leur pere au telephone.Dans un jour ou deux Amelia doit marier son fils de l'autre cote de la frontiere au Mexique..ses patrons seront-ils rentres à temps ? ...

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La démonstration de Babel, outre son origine biblique, n’est pas nouvelle, il y a longtemps qu’on observe que la multiplication des outils de communication engendre l’effet pervers de l’augmentation en parallèle de l’incommunicabilité. Pour paraphraser un célèbre philosophe, on peut dire qu’aujourd’hui, l’âme de l’homme est dans son téléphone mobile. Tous ces objets censés rapprocher, rassurer, passée la satisfaction immédiate d’avoir l’impression de contrôler les événements et les sentiments, provoquent une anxiété décuplée à moyen terme. Prenons le banal exemple d’un téléphone mobile d’un enfant, qui, acheté essentiellement pour calmer l’anxiété maternelle, provoque l’affolement quand il est hors zone, pire, suscite la convoitise des camarades de classe, etc ...

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J'aime plutôt les deux premiers films d' Inarritu, même si 21 grammes m'avait un peu déçu après Amours Chiennes. Je me jette donc dans Babel sans la moindre arrière-pensée et l'esprit libre : je n'ai rien lu dessus et j'apprends lors du générique qu'il a obtenu la récompense du meilleur réalisateur à Cannes. Aie, ça commence mal, venant d'un jury qui a couronné Ken Loach (vous pouvez m'insulter par mail, merci) et Indigènes (je ne supprimerais pas les commentaires injurieux) voire même Almodovar, mais ça c'est pour rire. Pour couronner le tout, quel ne fut pas ma surprise en découvrant Tom Cruise, pardon Brad Pitt (décidément, ça balance aujourd'hui) au générique. Inarritu serait-il passé du cinéma indépendant a la grosse baudruche Hollywoodienne ?...

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Babel, oui, parce qu'Alejandro González Inárritu nous montre que malgré l'éloignement géographique et culturel, les hommes ont la même souffrance ; que ça soit dans la mégalopole japonaise ou dans les montagnes isolées du Maroc, ce sont les mêmes douleurs, les mêmes peurs, et les mêmes combats intérieurs. Le réalisateur nous transporte ainsi entre les Etats-Unis, le Mexique, le Japon et le Maroc, avec à chaque fois une histoire différente qui toutes finiront par se rejoindre, comme dans Amores Perros (Amours Chiennes - je déteste cette traduction française du titre). Chacune de ces histoires évoque des idées très intéressantes ...

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Brad Pitt et Cate Blanchett vont au Maroc régler leur problème de couple, afin de mieux se retrouver chez soi. Manque de bol, au moment où ils allaient enfin se faire un bisou, Blanchett pose sa tête, mélancoliquement, conte la fenêtre du bus et reçoit une balle perdue. Elle perd immédiatement beaucoup de sang. Ses jours sont en danger sérieux, mais nous sommes en plein désert, l'hôpital le plus proche est loin, ce n'est pas gagné. Aux U.S de A, deux petits enfants, une fille et un garçon, format small (genre 5 et 6 ans, dont la soeur de Dakota Fannings, quelle horreur ! Comment peut-on prétendre faire du cinéma et faire un choix pareil ! Elle est aussi nulle que sa soeur, en plus ! Remboursez !), tous blonds, passent leurs journées avec leur nounou mexicaine qui est la meilleure du Monde ...

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Qu'est-ce que j'en avais entendu parler, de ce film ! A Cannes, il était celui que j'avais tellement regretté de n'avoir pas pu voir, celui que certains avaient évoqué avec le plus de vibrato dans la voix. J'aurais dû me méfier. La déception a été à la hauteur de l'attente. C'est terrible de se poser dans un fauteuil rouge d'une salle douillette et obscure, de s'y lover, de s'y pelotonner, sûre et certaine d'y passer un moment important, mouchoirs à portée de main (on m'avait prévenue à l'avance, et je suis une pleureuse, alors je prends mes précautions). Et de ressortir mitigée, déçue ...

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Alejandro González Inárritu, le réalisateur d'Amours chiennes que je n'ai pas encore vu et de 21 grams revient ici avec un film sur la communication où plutôt l'absence de communication semble t-il. Impossibilité de trouver cette entente, ce lien entre nous sur cette terre maudite ou rien, je vous dis rien ne nous est épargné. Mythe absolu, Babel est là toujours suintante, cité interdite ou perdue, à jamais enfouie ou introuvable, impalpable ...

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"Babel", tour mythique, symbole de la division de l’humanité, trop nombriliste et trop orgueilleuse pour s’entendre et se parler. Comme la plupart des mythes judéo-chrétiens (jardin d’Eden, Déluge, Anges, …) son origine remonte aux premières civilisations mésopotamiennes (probablement la ziggourat de "Borsippa"). Un tel thème a déjà été abondamment utilisé dans des œuvres de fiction ...

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Babel est un de ces films qui ne vous laissent pas indifférent. Son histoire - un malheureux coup de feu au Maroc qui aura des conséquences jusqu'au Mexique - est habilement écrite et structurée de façon intéressante. Ses acteurs (Brad Pitt Cate Blanchett, Adriana Barraza, Kôji Yakusho...) sont tous très touchants et humains. Et sa mise en scène (primée au dernier festival de Cannes) est exemplaire : Iñárritu, ingénieux, passe des cris d'une souffrante au silence d'une sourde-muette ...

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Ouf ! On peut penser ce que l'on veut de certains passages, et de l'idéologie sous-jacente de ce film (quelques angoisses américaines à expurger), il n'empêche qu'il m'a tenu en haleine du début à la fin et que j'en suis ressortie, essouflée. Alors oui, il y a Brad Pitt (et bien il est assez juste, assez retenu, et le visage plein de rides !) et Cate Blanchett ...

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Le réalisateur mexicain de talent, Alejandro Gonzalez Inarritu, a une belle carrière cinématographique puisque après le très beau “21 grammes”, son dernier film “Babel” remporte le prix de la mise en scène 2006 à Cannes. Ce film est un peu basé sur l’effet papillon puisque l’on suit des scènes au travers de différents pays qui n’ont apparemment aucun lien mais qui finissent par faire partie d’une chronologie dramatique ...

Note : 3.6/5 (14 notes)


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