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01
2009

American Gangster - Ridley Scott

13 chroniques recensées

Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
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American Gangster,

De

Avec R. Crowe, D. Washington, C. Ejiofor
Sortie le 14 novembre 2007
Acheter American gangster sur Amazon

 

Voilà un film qui ne dérangera personne, politiquement et commercialement correct, deux acteurs au sommet du box-office pour un face à face bien mièvre. Le truand se comporte comme un bon père de famille, le flic comme un voyou, ça, c’est l’idée (bonne mais pas nouvelle) de départ numéro 1, la seconde bonne idée, c’est de retranscrire l’histoire vraie d’un parrain black de la drogue dans les années 70, une ascension qui chatouille la maffia italienne et la French connection. Restait à ne pas trop en faire ni pas assez, pour dénoncer suffisamment les méfaits de la drogue sur «nos chères têtes blondes» sans pour autant gâcher le plaisir du (très) grand public ...
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Julie qui a également vu le film me dit que c'est du déjà vu, pas très innovant. Elle a pensé à French Connection et au Parrain. Peut-être. Mais voila un film de plus de deux heures trente mené à un rythme d'enfer. Epoustouflante cette plongée chez les black gangsters. Ce film est tiré d'une histoire vraie. Extraordinaire reconstitution New-York au début des années 70. Sur fond de guerre du Vietnam qui fait rage. Discours de Nixon retransmis à la TV noir et blanc. Images d'actualité ...
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Voila une grande leçon de narration. Ridley Scott a parfaitement compris comment raconter une histoire. Généralement, les films trop long me soulent car sont bourrés de passage qui font presque penser à du remplissage tellement ils sont longs et ne servent à rien. Ici, je n'ai rien ressenti de tel. Tout s'enchaine sur un bon rythme (entre un rythme d'enfer et un rythme d’escargot), sans jamais faiblir avec toujours cette impression que ce qui est montré est utile à l'histoire ou aux personnages ...
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Réalisateur désormais accoutumé au succès, le britannique Ridley Scott à qui l’on doit des films tels que Gladiator, La chute du Faucon Noir ou encore Kingdom of Heaven, revient cette semaine à l’affiche pour son film American Gangster, succès garanti au box office (environ 500 000 entrées pour la première semaine), porté à bout de bras par un duo aussi admirable que brillant ...
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"American Gangster", ce titre n'a été choisi qu'en post-production, de préférence à "Tru Blu'" ou "The Return of Superfly", en référence au film de la Blacksploitation inspiré de Frank Lucas. Pourtant, l'adjectif American est bien le noeud de l'intrigue de ce biopic particulier. Alors que les Etats-Unis s'enfoncent dans un conflit interminable, celui du Vietnam (ça ne vous rappelle rien ?), nous assistons à la résistible ascension d'un parrain d'un nouveau genre, adepte d'une approche de businessman dans le traffic d'héroïne ...
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Peut-on parler du vide et si oui est-ce vraiment une bonne idée de le faire ? Telle est l’intéressante question que Ridley Scott aurait du se poser avant de nous infliger sa dernière création. Insupportablement long et poussif, American Gangster propose sans aucune inventivité une nième visite du triptyque «gangster vs. gentil flic vs. ripoux» ...
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Quand un réalisateur propose un film de plus de 2h30, le risque est grand de perdre son auditoire. Réussir à maintenir l'intérêt réside soit en un talentueux sens du rythme, soit en un scénario parfaitement ficelé. Ridley Scott échoue sur (presque) tous les plans. American Gangster raconte l'histoire (vraie) de Frank Lucas ...
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Tout est dans le titre : American gangster est l'histoire d'un gangster américain, ni plus ni moins. Ce n'est pas l'originalité du sujet qui étouffera le spectateur, tant le film de Ridley Scott ressemble à ce qu'ont pu faire précédemment Hawks, Scorsese ou Mann (pour ne citer qu'eux). Comme dans Les affranchis, le héros "a toujours rêvé d'être un gangster". Grandeur, décadence, tout ça. American gangster est un film de bonne facture mais qui ne peut dissimuler un côté profondément ordinaire ...
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Le titre du dernier film de Ridley Scott, American gangster, rappelle inévitablement le documentaire de McIntyre A very british gangster consacré à un parrain de la drogue à Manchester UK. Et il y a effectivement quelques parallèles : American gangster est basé sur une histoire vraie et sans être un documentaire, il en a un peu le rythme puisqu'il s'agit d'une longue description (le film dure plus de 2h30, même si on ne s'y ennuie pas un seul instant) des affaires d'un trafiquant de drogue ...
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Plongée dans les années 70, New York, la guerre du Vietnam fait rage et voilà que Frank Lucas, (alias Denzel Washington) reprend le trafic de stupéfiant en allant directement s'approvisionner à la source en Asie du Sud Est, la Blue Magic innonde le marché et il devient rapidement l'homme incontournable, cela n'arrange pas trop les grandes familles italienne de la place ni la filière française. De l'autre côté,Richie Roberts (alias Russell Crowe) est un "intouchable", un incorruptible ce qui est chose rare dans la police new yorkaise de l'époque ...
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Je viens enfin de voir, quelques semaines après sa sortie, American Gangster. Le film dure 2h30 chrono et on n'a pas le temps de s'ennuyer, mais, à mes yeux, le message du film n'est pas clair et même un peu douteux. Pendant les 20 premières minutes du film, j'ai eu un peu peur : je n'ai rien compris. Il y a de courtes séquences dans lesquelles on voit tour à tour Russell Crowe et Denzel Washington. Dans l'une, ce dernier commet un acte plutôt monstrueux, il arrose d'essence un homme baillonné et y met le feu ...
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Il est amusant de constater le nombre de films dont le titre comprend « American »: AMERICAN BEAUTY, AMERICAN PSYCHO, AMERICAN HISTORY X. Chacun représente en quelque sorte une facette de cette nation qu'on se plait à dénigrer, mais dont l'influence sur le reste de l'occident ne se dément jamais. AMERICAN PIE, aussi, qui proportionnellement est peut-être encore plus représentatif des Etats-Unis. Et voici venir le nouveau long-métrage de Ridley Scott. On a vite fait d'oublier les dernières productions du britannique (A GOOD YEAR, KINGDOM OF HEAVEN) car, finalement, il arrive à tout le monde de faire des faux pas ...
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Note : 3/5 (10 notes)


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