Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Dr Orlof, Les Irréductibles, Cosmopolitan stories, Cinéniavlys
Les lumières du faubourg, De Aki Kaurismäki, Avec J. Hyytiäinen, M. Heiskanen, M. Järvenhelmi Sortie en salle le 25 octobre 2006 Sortie en DVD le 16 octobre 2007 |
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Une des raisons, entre mille autres, de se réjouir qu’existe un film comme les lumières du faubourg ; c’est qu’Aki Kaurismäki nous donne l’occasion de réentendre le temps des cerises. C’est tout de même malheureux que nous soyons obligés d’attendre que ce soit un film finlandais qui nous remette dans l’oreille cet hymne. Tout se passe comme si le cinéma français avait élidé tout simplement le peuple des écrans. Oh ! Non pas que tous les films évitent de parler de la misère, de la pauvreté et de l’exclusion ; mais ils le font tous sous une forme didactique, sociologique ou idéologique. Les personnages populaires n’existent que comme « type » destiné à étayer une thèse (Cf. Tavernier, Loach ...)
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Un film noir, aussi sombre que ne sont éclatantes certaines lumières des décors.Des docks, un port, une baraque à frites, des bars, la grande galerie marchande, nous ne la verront que de nuit où Koistinen effectue ses rondes . Il travaille au sein d'un groupe de vigiles et reve de monter sa propre agence de surveillence. Je ne connaissais pas le réalisateur, je l'avoue, j'ai choisi ce film car annoncé comme noir..et il l'est ...
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Pour clore sa trilogie sur les "perdants", Aki Kaurismäki a choisi de se pencher le thème de la solitude avec son film Les Lumières du faubourg. Comme si c'était nouveau chez lui! La solitude, c'est un thème qu'il connait bien, et qu'il a déjà traité de manière sombre (La fille aux allumettes/1989) ou comique (J'ai engagé un tueur/1990). Un peu comme Iosseliani, ses films se ressemblent, mais se regardent à chaque fois comme étant différents. Koistinen est gardien de nuit dans un centre commercial, célibataire et sans ami. Dans le froid d'Helsinki, Koistinen cherche un petit coin de soleil ...
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Pour représenter le quotidien peu divertissant de ce pauvre homme, Kaurismaki a opté pour une mise en scène sobre, mais intéressante. Il nous montre ses personnages à peu près toujours de la même façon, c'est-à-dire de face ou de profil, en plan moyen et fixe (au pire, en mouvement d'accompagnement) : tout ce qu'il y a de plus calme et posé. Mais cette mise en scène, par moments, nous surprend ...
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