Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Rob Gordon, Laterna Magica, Cahier critique, Xav-B.log, Cinemapolis
Yes man, De Peyton Reed Avec J. Carrey, Z. Deschanel, B. Cooper Sortie en salle le 21 Janvier 2009 |
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Il y a dix ans, dans Menteur menteur, Jim Carrey se trouvait sous l'emprise d'une malédiction le contraignant à dire la vérité tout le temps, même quand elle fâche. Cette fois, c'est un simple engagement envers une sorte de secte qui pousse son personnage à dire oui à tout bout de champ, lui qui auparavant disait niet à tout va. On ne peut que comparer ces deux films qui, sur un postulat voisin, connaissent des réussites diverses. Dynamique et échevelé (presque) jusqu'au bout, le film de Tom Shadyac était un divertissement réussi et un véhicule idéal pour la folie carreyienne. Sous la houlette du laborieux Peyton Reed (La rupture), Yes man est quant à lui une petite déception qui laisse les zygomatiques au repos ...
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Carl est un conseiller bancaire englué jusqu’aux genoux dans une vie morose. Celle qu’il a cru être la femme de sa vie est allée chercher fortune dans d’autres bras et lui à totalement renoncer à profiter de la vie. Il refuse toutes les sorties que lui propose ses amis et préfère passer ses soirées à enfiler les films loués au vidéo-club. Les retrouvailles très opportunes avec une vieille connaissance vont changer sa vie ...
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Le spitch est simple comme bonjour (ou comme oui), démultipliable à foison, regénérable à l’infini et ne nécessite même aucun prétexte tarabiscoté à la Bruce Tout-puissant, dire oui à tout en toute circonstance s’avère juste idéal pour une vraie comédie, et pour un vrai acteur comique. Jim Carrey, plus en forme que jamais, comme si Yes man était son dernier numéro, assure peut-être là l’une de ses meilleures performances, pas la plus excentrique, certes, mais certainement la plus dingue au sein d’une normalité bien réglée. Comme un clown qui réaliserait un numéro d’équilibriste, l’art de Carrey ne tient qu’à un fil : l’acteur tutoie l’excès, le titille, le chatouille, parfois même le harponne mais jamais ne sombre dedans. Tel est son crédo, son génie qu’il peaufine encore et toujours et qui atteint ici des sommets de maîtrise assez stupéfiants ...
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Yes Man marque le grand retour de Jim Carrey à la comédie, deux ans apres Le Nombre 23, thriller fantastique étrange qui avait décontenancé le public. Afin de retrouvers ses fans c'est tout naturellement que l'acteur revient a ce qu'il sait faire de mieux, nous faire rire. Yes Man est la libre adaptation d'un roman du journaliste anglais Danny Wallace. Les scenaristes ont gardés simplement l'idée de base d'un homme pret a dire oui à tout et des consequences que cela entraine. Une idée originale qui n'est cependant pas sans rappeler la comédie Menteur, Menteur où Jim Carrey etait obligé de dire la vérité ...
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La pétillante Allison contrebalance le caractère aigri et lunatique de Carl Allen. Un mélange intéressant... qui a des difficultés à décoller. On en viendrait presque à préférer le Carl solitaire et gaffeur du début, malgré son alliance avec le jeu espiègle de Zooey Deschanel, rendue célèbre grâce à Phénomènes de M. Night Shyamalan. On s’attendait à un Jim Carrey étincelant, décidé à mettre en pratique son talent pour le rire après le décevant et trop sérieux Nombre 23 en 2007. Les attentes étaient certainement trop grandes ...
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