Source : EightDayzaWeek
Franche curiosité que de voir un personnage de fiction (mollement) incarné au cinéma par son propre auteur (un peu comme si Frédéric Dard s'était entiché de camper San Antonio à l'écran !) qui constitue l'unique raison solide de s'envoyer ce très premier degré (et très inégal*) petit polar aux enjeux rapidement anecdotiques, au rythme discutable (les morceaux de bravoure n'y sont ni légion ni d'envergure) et au triste déficit en catchy ou en charisme, exception faite peut-être de ses indéniables qualités cosmétiques (belle production design, photo soignée, jolie blonde fatale à bikini pigeonnant) [..]