Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Devotionall, Blog Culturel, Planet Gong, Le bal des vauriens, Classe ou crasse
Shotter's Nation, De Babyshambles, Parution en 2007 |
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C'est une chose bien difficile que de parler des BABYSHAMBLES, sans évoquer les frasques sans fins de son leader et chanteur, Pete Doherty. Je ne vais pas vous résumer les derniers épisodes, de sa relation tumultueuse et contrastée avec le mannequin anorexique Kate Moss, ou sa dépendance à la drogue dure qui l'amène aussi souvent devant les tribunaux qu'en cure de désintox'. Non, ce serait trop facile, presqu'un coup bas porté contre l'homme, plus que contre sa musique. Musique par ailleurs fort surestimée, et bénéficiant d'une formidable caisse de résonnace à travers presque tous les médias ...
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Un deuxième album de très très bonne facture qui vous entraîne loin et en rythme, ce n'est pas rien ; Pete Doherty est bien là qui vous fait vibrer. Non franchement, j’avais moins aimé le premier opus et voilà que je suis en phase avec cette échappée belle. Il y a du punch et du bon rock dans cet album cela remet les choses en place et permet de se lancer à corps perdus dans la journée qui s’annonce, qui se termine, la nuit qui se lève ...
Lire la suite de la chronique chez Blog Culturel.
Shotter's Nation est-il le chef d'œuvre annoncé dans la presse depuis plusieurs semaines par l'ensemble de la presse ? Comme d'habitude, abordons les choses avec méfiance et jugeons avec mauvaise foi. Quand on met un nouvel album de Pete Doherty sur la platine, la question qui se pose est invariablement la même : "le son du disque sera-t-il à la hauteur des chansons ?". C'est devenu une habitude depuis 2004 ; l'internaute libertinomane connaît déjà les morceaux via les démos que Doherty diffuse et attend de voir comment elles seront sabotées en studio ...
Lire la suite de la chronique chez Planet Gong.
Cette 2ème très attendue delivery des Babyshambles, alors, j'en pense quoi ? D'abord, c'est du très bon et malgré ce que disent les gazettes, Pete Doherty semble remonter la pente (ou il la descend moins vite). Ce disque est bien moins bordélique que son prédécesseur Down on Albion, moins d'égarement, voix moins fatiguée ...
Lire la suite de la chronique chez Le bal des vauriens.
Pete Doherty a beau être le garçon le plus gentiment bordélique du monde, son évocation implique quelques codes certifiés conformes par la guilde des chroniqueurs. En premier lieu, on se lamentera sur son statut de débris décadent. Histoire de faire un peu marrer dans les chaumières, on citera une de ses meilleures âneries, comme celle de baptiser son chat Dinger ("Seringue") et de lui cocaïner régulièrement la truffe. Puis selon que l'on soit fan transi ou opposant outré, il incombera d'insister sur le côté profondément "humain et sensible" de l'icône ou, au contraire, de bramer haut et fort "qu'on ne comprend pas ce que certains peuvent bien trouver à ce type" ...
Lire la suite de la chronique chez Classe ou crasse.