Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
NeVerMinD tHe bLoGs, Culturopoing, Un jour un CD
Pirate's Gospel Alela Diane Sortie en 2007 |
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Je dois admettre que j’écris cette chronique après un nombre somme toute assez restreint d’écoutes (pas plus de quatre complètes) de l’album The Pirate’s Gospel, d’Alela Diane. Gros risque. Nous savons tous combien les albums sucreries qui sentent bon et passent comme une fleur aux premières écoutes ont une fâcheuse tendance à devenir de plus en plus dispensables au cours du temps, voire carrément écœurants et inécoutables ...
La formule est simple, presque caricaturale : une guitare, parfois un banjo, un peu de steel guitar, quelques battements de pied ou de main, et une voix. Mais quelle voix, mes amis. Sortie tout droit d’un passé révolu évoquant un chœur de gospel, Alela Diane ne laissera personne indifférent. Sa voix est habitée, langoureuse, hantée par une force occulte – divine ou diabolique – qui parle directement à l’âme de l’auditeur, le laissant à sa merci ...
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Découverte il y a quelques semaines grâce au net, Alela Diane est peut-être une énième chanteuse folk américaine, mais elle a une voix magnifique et elle y met un soupçon de gospel, donc son album The Pirate’s Gospel est un des albums de cette année pour moi. Le mariage du folk et de la soul m’enchante particulièrement. A l’écoute de cet album mes poils se ressent surtout sur le bouleversant Oh ! My Mama. Sur The Pirate’s Gospel, les mélodies de la discrète guitare s'ajoute la force de la voix chaleureuse de Alela ...
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