Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Les irréductibles, Dasola, Rob Gordon
Nous, les vivants, De Roy Andersson, Avec J. Lundberg, E. Helander, B. Englund Sortie en salle le 21 Novembre 2007 |
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Caméra statique dans les brumes du nord, et on ne peut-pas dire que ceux-ci ont dans le cœur…Non, ici le quotidien est étrange, il flotte un froid et lourd parfum de surréalisme. Pas de soleil, mais des rêves pour tout un chacun. Ce film est un album photo que l’on feuillette, révélant au passage un songe , qui peut vite tourner au cauchemar. Au fil de ces minis scénario, toutes histoires s’articulant autour d’un bar froid et glacial, ce bar ou tous se ruent vers le comptoir au son de cloche pour la dernière lampée ...
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Après réflexion, j'ai décidé de faire un billet séparé pour Nous les vivants de Roy Andersson : film iconoclaste qui ne raconte pas une histoire, mais on assiste à un enchaînement de saynètes sans début, ni fin, des instants de vie baignés parfois dans le brouillard suédois mais qui laissent perplexe. Je n'ai pas ri mais je n'ai pas été émue non plus ...
Lire la suite de la chronique chez Dasola.
Résumer un film de Roy Andersson, c'est comme demander à un centenaire de raconter sa vie en vingt mots : strictement impossible et complètement idiot. Comme Chansons du deuxième étage, Nous, les vivants est une succession de tableaux composés avec soin, étudiés avec lenteur et précision par un cinéaste entomologiste. Une atmosphère très scandinave (entre les pubs Krisprolls et les premiers Bent Hamer, pour faire simple) pour une oeuvre froide mais aussi terriblement drôle ...
Lire la suite de la chronique chez Rob Gordon.