Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Dasola, Culturopoing, CinemaniaC, Through my eyes
My Father, My Lord De David Volach Avec A. Dayan, I. Griff, S. Hacohen Bar Sortie le 23 Avril 2008 |
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My father, My Lord est le premier des deux films israéliens (sortis la même semaine) que j'ai vus en une soirée. Dès le début de My father, My Lord, on sait qu'une tragédie a eu lieu, un rabbin pleure lors d'une séance de prière et le nom de Menahem Eidelman (écrit en hébreu) est inscrit sur une petite plaque vissée à un pupitre inoccupé dans une salle de synagogue. Le film, qui dure 1h20, est filmé en caméra numérique et avec une image dans les tons gris et ocre. La réalisation est sobre mais la musique est omniprésente ...
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My father, my Lord c’est un peu notre perle du mois. Le film de David Volach dont c’est le premier long métrage confirme tout le bien qu’on pense du jeune cinéma israëlien, LE cinéma à surveiller de très près tant il continue d’imposer un ton si particulier, ancré dans la réalité contemporaine, sans être démonstratif, et parvenant à s’en détacher pour encore mieux en parler. My father, my Lord est avant tout une histoire d'amour, l'histoire d'amours infinis, le pluriel est important. L'amour inconditionnel et fascinant d'un fils pour son père, amour que le père lui rend également avec sincérité et humanité ...
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C’est un film dérangeant dont je tarde à écrire la critique tant je suis sortie déprimée de la projection. En deux mots, il s’agit d’une version contemporaine du sacrifice d’Isaac par son père Abraham. Le réalisateur a été élevé lui-même à Jerusalem dans le milieu ultra-orthodoxe d’où il s’est extrait douloureusement pour aller se réaliser dans l’art et le cinéma. Notes du réalisateur (extrait d’une interview) : «mon film décrit un univers où le sacrifice d’Isaac est quasi-permanent, car la religion sacrifie la vie ici-bas au profit d’un au delà hypothètique… un paradis qui se révélerait peut-être après la mort…» ...
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La nouvelle vague du cinéma israélien débarque en ce moment en force sur les écran français. Avec My father, my lord, nous découvrons le premier film d’un jeune réalisateur qui connaît bien son sujet : il a été élevé dans une famille juive ultra-orthodoxe à Jérusalem. Menahem est un garçon qui dans trois ou quatre ans va vivre un grand événement : sa bar-mitsva. En tout cas c’est ce que ne cesse de lui répéter son père, Abraham, un grand rabbin de la communauté ...
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