Source : EightDayzaWeek
Sommet nanardissime ritalo-nu-yorkais bredouillant son foutu catéchisme Carpentero-WalterHillien (soit un habile dosage de NY97 et de The Warriors), ayant dépensé sa dernière lire pour l’embauche opportune de vieux baroudeurs jouant presque au black (Morrow, Williamson, Connelly), mais aussi dans le tuning famélique des grosses motos des riders et dans les bouteilles de chianti éventé que durent s’envoyer les trois scénaristes (dont l’Enzo en chef lui même !) pour pondre un script aussi indigent, Les Guerriers du Bronx est de la classe de ces productions si miséreuses et ridicules, si éloignées de l’idée cinématographique qu’elles suscitent une sincère et chaleureuse empathie : le post bis, l’ultra Z, le navet ultime et savoureux [..]